Au paradis du poème
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Jack Van Flyff
Lady
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Au paradis du poème
Ici je posterais tout mes poèmes,vous pouvez comme pour les dessins en commandez.
Voila déjà un poème dont je suis assez fière :
Les étoiles
Une étoile qui brille le soir
fait flamboyer le ciel de toute sa beauté
Une étoile qui brille le soir
représente l'amour et la distance
Une étoile qui brille le soir
est un symbole d'espérance
Quand une étoile se meurt et disparait
une autre apparait et la remplace
Pour certains,une étoile est une décoration du ciel
Pour d'autres,c'est un symbole de joie,d'amour et d'espérance...
Voila déjà un poème dont je suis assez fière :
Les étoiles
Une étoile qui brille le soir
fait flamboyer le ciel de toute sa beauté
Une étoile qui brille le soir
représente l'amour et la distance
Une étoile qui brille le soir
est un symbole d'espérance
Quand une étoile se meurt et disparait
une autre apparait et la remplace
Pour certains,une étoile est une décoration du ciel
Pour d'autres,c'est un symbole de joie,d'amour et d'espérance...
Lady
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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Re: Au paradis du poème
Un autre en l'honneur de n'etoile....
toi et moi
Amoe ad vitam eternam..
Pour toi et moi,ces mots veulent tout dire
Amoe comme l'amour que nous éprouvons
Vitam comme la vie que nous partageons
Eternam comme le temps que durera notre amour
Lady
toi et moi
Amoe ad vitam eternam..
Pour toi et moi,ces mots veulent tout dire
Amoe comme l'amour que nous éprouvons
Vitam comme la vie que nous partageons
Eternam comme le temps que durera notre amour
Tous ces mots résument notre état d'ésprit
Quatre mots pour désigner la vie,l'amour et enfin la mort...Lady
Dernière édition par Lady Van Flyff le Mer 4 Mai - 20:00, édité 1 fois (Raison : Motes au lieu de mots --')
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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o.o
....Très jouli....^^...Le premier est très beau,et le second.....M'a touché tout au fond :oops: ......AAVE <3....
sourit et cherche des feuilles blanches pour aller gribouiller un autre dessin en urgence
sourit et cherche des feuilles blanches pour aller gribouiller un autre dessin en urgence
Jack Van Flyff- Urbain II
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Poèmes...
Superbe tes poèmes. On voit que t'es inspiré ! Sympathique. Je sais pas quoi dire d'autre. Je parle pour ne rien dire... >>"
Kana- Messages : 10
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Chuis plus tout seul!!! ^^
Je n'ai rien à dire, magnifique, magnifique.
En fait si, j'ai des remarques:
-Le nombre de pieds, tout ça tout ça, tu le fais pas... C'est toi qui vois! (je le fais pas aussi, c'est prise de tête ^^)
-Les vers, j'ai du mal à les voir... C'est peut-être moi, mais faut bien les chercher. Ca doit être du à la trop grande différence de pieds entre les vers 1 et les vers 2. Après, montes ça comme tu veux, c'est pas moi qui vais t'en empêcher! ^^
-Ben... Voilà! Faudrait que je prenne exemple sur toi, mes poèmes sont trop courts (allez savoir pourquoi, les grands me font péter un câble et... bref.)
Donc, en résumé: Continues comme ça!!!
Seja, admiratif.
En fait si, j'ai des remarques:
-Le nombre de pieds, tout ça tout ça, tu le fais pas... C'est toi qui vois! (je le fais pas aussi, c'est prise de tête ^^)
-Les vers, j'ai du mal à les voir... C'est peut-être moi, mais faut bien les chercher. Ca doit être du à la trop grande différence de pieds entre les vers 1 et les vers 2. Après, montes ça comme tu veux, c'est pas moi qui vais t'en empêcher! ^^
-Ben... Voilà! Faudrait que je prenne exemple sur toi, mes poèmes sont trop courts (allez savoir pourquoi, les grands me font péter un câble et... bref.)
Donc, en résumé: Continues comme ça!!!
Seja, admiratif.
Seja- Adepte de la cacahuète
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Nom des personnages: heu... Beaucoup, beaucoup et beaucoup. Mais si vous croisez quelqu'un du nom de Tobias, c'est moi!
Re: Au paradis du poème
Je ne fais pas de rimes mais que des proses car les rimes c'est CHIANT!
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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Nom des personnages: Didi(-chan)/Lady
Re avec deux news poèmes!!
Ah l’Amour...
L’amour me comble de joie et me désespère.
Il est ma chance et mon fléau.
Un sauveur me confiant à mon bourreau.
Faisant naître en moi une raison puis en la tuant.
L’amour se mystifie et se confesse.
Me libérant puis m’enchainant à nouveau.
Consument la rose de mon cœur et refroidissant mes ardeurs.
Pourquoi si fol et si raisonnable amour ?
M’entrainant au-dessus des cieux et me perdant dans les abysses de la terre.
Me transportant au-dessus de Zeus puis m’enracinant au royaume d’Hadès.
Ces douleurs sont ma vie et ses plaisirs sont ma mort.
Tristesse…
Vagabondant dans ce morne paysage
Les violons n’en menaient pas large.
L’automne à son apogée
Blesse mon cœur malmené.
Je frisonne, marchant sur de sombres pensées.
Les branches des arbres déchues de leurs feuilles
Me font penser à une mort qui n’aspire qu’a arriver.
Mon alliance rouillée repose en ton cercueil.
Un rayon de soleil me parait lame de couteau.
Les rochers escarpés me paraissent doux foyer.
Harassée, parcourant la route menant à mon tombeau.
Je suis éperdue,abbatue,ne cherchant qu’a me transpercer.
Ta mort me plonge dans la douleur.
Je ne suis plus que l’ombre de moi-même.
Cherchant sans espoirs tes bras remplis de douceur.
Sache mon amour que je t’aime.
L’amour me comble de joie et me désespère.
Il est ma chance et mon fléau.
Un sauveur me confiant à mon bourreau.
Faisant naître en moi une raison puis en la tuant.
L’amour se mystifie et se confesse.
Me libérant puis m’enchainant à nouveau.
Consument la rose de mon cœur et refroidissant mes ardeurs.
Pourquoi si fol et si raisonnable amour ?
M’entrainant au-dessus des cieux et me perdant dans les abysses de la terre.
Me transportant au-dessus de Zeus puis m’enracinant au royaume d’Hadès.
Ces douleurs sont ma vie et ses plaisirs sont ma mort.
Tristesse…
Vagabondant dans ce morne paysage
Les violons n’en menaient pas large.
L’automne à son apogée
Blesse mon cœur malmené.
Je frisonne, marchant sur de sombres pensées.
Les branches des arbres déchues de leurs feuilles
Me font penser à une mort qui n’aspire qu’a arriver.
Mon alliance rouillée repose en ton cercueil.
Un rayon de soleil me parait lame de couteau.
Les rochers escarpés me paraissent doux foyer.
Harassée, parcourant la route menant à mon tombeau.
Je suis éperdue,abbatue,ne cherchant qu’a me transpercer.
Ta mort me plonge dans la douleur.
Je ne suis plus que l’ombre de moi-même.
Cherchant sans espoirs tes bras remplis de douceur.
Sache mon amour que je t’aime.
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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....
ils sont superbes....T^T
Jack Van Flyff- Urbain II
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Re: Au paradis du poème
J'suis inspirée aujourd'hui!Un post pour Sally et un post ici!Enjoy!!
Un chat .Un chien.
Deux êtres différents.
Deux êtres qui ne sont pas fait pour s'entendre.
Deux êtres que tout oppose.
Même la distance.
Deux êtres qui ne rêvent que de l'autre.
Pourront-il un jour être ensemble ?
Seul l'avenir nous le dira.
Un chat .Un chien.
Deux êtres différents.
Deux êtres qui ne sont pas fait pour s'entendre.
Deux êtres que tout oppose.
Même la distance.
Deux êtres qui ne rêvent que de l'autre.
Pourront-il un jour être ensemble ?
Seul l'avenir nous le dira.
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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Re: Au paradis du poème
Ô peur et angoisse;
Grands maîtres du savoir;
Pourquoi tout le jour durant;
Dans nos cœurs tel un nuage insistant;
Vous perdurez,ombre menaçante;
Englobant nos esprits tel un rapace;
Qui fondit sur sa proie dans un accès de rage;
Vous nous détournez de notre objectif;
En semant une peur indicible;
Et vous festoyez alors que nous sommes éconduit;
Bien avant nos propres limites.
Grands maîtres du savoir;
Pourquoi tout le jour durant;
Dans nos cœurs tel un nuage insistant;
Vous perdurez,ombre menaçante;
Englobant nos esprits tel un rapace;
Qui fondit sur sa proie dans un accès de rage;
Vous nous détournez de notre objectif;
En semant une peur indicible;
Et vous festoyez alors que nous sommes éconduit;
Bien avant nos propres limites.
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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Re: Au paradis du poème
Et revoila un nouveau inspiré de The Witcher avec Geralt/Triss/Yennefer
Les jours se meurent et les nuits se vivent
L'éternité vieillit et rajeunit
Les éternels ne sont rien qu'un instant de vie
La mort se désagrège et se renouvelle.
Les couleurs de la vie flamboient dans le ciel
Les pastels de ce lieu s'évadent et se noient
Une mèche couleur de feu se perd dans le vent
Milles senteurs de Groseille parviennent à mon nez.
Un sourire fleurit avant de disparaître
Un rire se meurt au bord de tes lèvres
Un sourire se fend sur ce carmin brutal
Le rouge se noie dans l'ardeur bestiale.
Un coup de vent.
Brusque et violent.
Tout s'envole.
Tout s’emballe.
Plus rien n'est là.
Les jours se meurent et les nuits se vivent
L'éternité vieillit et rajeunit
Les éternels ne sont rien qu'un instant de vie
La mort se désagrège et se renouvelle.
Les couleurs de la vie flamboient dans le ciel
Les pastels de ce lieu s'évadent et se noient
Une mèche couleur de feu se perd dans le vent
Milles senteurs de Groseille parviennent à mon nez.
Un sourire fleurit avant de disparaître
Un rire se meurt au bord de tes lèvres
Un sourire se fend sur ce carmin brutal
Le rouge se noie dans l'ardeur bestiale.
Un coup de vent.
Brusque et violent.
Tout s'envole.
Tout s’emballe.
Plus rien n'est là.
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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Re: Au paradis du poème
Je connais pas l'univers pour dire quelque chose en rapport.
Après, je me demande en quel musique/air dans ta tête tu fais les poèmes car je l'ai pas.
Donc c'est l'avis du "Je sais que c'est un poème mais j'ai pas l'élan lyrique qu'y faut"
Après, je me demande en quel musique/air dans ta tête tu fais les poèmes car je l'ai pas.
Donc c'est l'avis du "Je sais que c'est un poème mais j'ai pas l'élan lyrique qu'y faut"
Kiart Nenzo- Crocomo caché
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Localisation : Le sud du pays des baguettes
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Re: Au paradis du poème
Bwaaaah, c'est quoi ces vers et rimes libres!? C'est n'imp-RAAAH! Lâchez-moi! Il faut donner un grand coup!
*Piqûre de calmant*
Bon, soyons objectif.
Déjà, vu que ta forme est, on va pas se mentir, totalement libre, ne te sens pas obligée de faire des quatrains. C'est dommage de séparer les vers 4 et 5. Ils riment, ils ont le même nombre de syllabes, et ils présentent une opposition sous forme de parallélisme (vie / flamboyer / mort / désagréger)
Et, justement, si tu fais de la première strophe un tercet, tu as une forme intéressante: deux décasyllabes (Si l'on considère une diérèse sur "nuit") avec césure au quatrième pied suivies d'un alexandrin avec césure à l'hémistiche. En gros, ça donne une rythme 4-6-4-6-6-6 (avec une rime de césure entre "lieu" et "feu"). L'alexandrin, dans sa forme et son fond, se lit comme un bilan des deux décasyllabes précédents.
Après, tu peux donc faire un quatrain composé de trois hendécasyllabes (Je pensais pas utiliser ce mot de ma vie) suivis d'un vers de treize syllabes (Là, y'a pas de nom officiel... Mais j'aime bien "terdécasyllabe"). Et tes césures sont régulières, vu que tu les places à chaque fois cinq pieds avant la fin. Donc tu as un rythme 6-5-6-5-6-5-8-5, et ça ressemble à quelque chose (D'autant que tu peux gardes le champ lexical des couleurs). Bon, j'aurais certainement fait rimer le septième vers avec "ciel" ou avec "noient", mais niveau rythme, ç'aurait fait l'affaire.
Bon, après, ton huitième vers... Quatorze syllabes, aucune rime, et tu prononces un "e" féminin juste avant une césure. Un vers dont on aurait pu en fait se passer.
Après, tu gardes le quatrain, avec alexandrins et décasyllabes croisés (alexandrins quand on a l'idée de la vie, décasyllabe quand on a celle de la mort, c'bien foutu.) D'autant que l'absence de diérèse sur "bestiale" donne une spontanéité au vers qui se prolonge sur les quatre derniers. Oui, parce que "Plus rien n'est là", ça ressemble à rien, je l'ai même pas remarqué lors de ma première lecture.
Voilà, voilà... J'voulais faire un truc court, donc je m'arrête sur ça.
*Piqûre de calmant*
Bon, soyons objectif.
Déjà, vu que ta forme est, on va pas se mentir, totalement libre, ne te sens pas obligée de faire des quatrains. C'est dommage de séparer les vers 4 et 5. Ils riment, ils ont le même nombre de syllabes, et ils présentent une opposition sous forme de parallélisme (vie / flamboyer / mort / désagréger)
Et, justement, si tu fais de la première strophe un tercet, tu as une forme intéressante: deux décasyllabes (Si l'on considère une diérèse sur "nuit") avec césure au quatrième pied suivies d'un alexandrin avec césure à l'hémistiche. En gros, ça donne une rythme 4-6-4-6-6-6 (avec une rime de césure entre "lieu" et "feu"). L'alexandrin, dans sa forme et son fond, se lit comme un bilan des deux décasyllabes précédents.
Après, tu peux donc faire un quatrain composé de trois hendécasyllabes (Je pensais pas utiliser ce mot de ma vie) suivis d'un vers de treize syllabes (Là, y'a pas de nom officiel... Mais j'aime bien "terdécasyllabe"). Et tes césures sont régulières, vu que tu les places à chaque fois cinq pieds avant la fin. Donc tu as un rythme 6-5-6-5-6-5-8-5, et ça ressemble à quelque chose (D'autant que tu peux gardes le champ lexical des couleurs). Bon, j'aurais certainement fait rimer le septième vers avec "ciel" ou avec "noient", mais niveau rythme, ç'aurait fait l'affaire.
Bon, après, ton huitième vers... Quatorze syllabes, aucune rime, et tu prononces un "e" féminin juste avant une césure. Un vers dont on aurait pu en fait se passer.
Après, tu gardes le quatrain, avec alexandrins et décasyllabes croisés (alexandrins quand on a l'idée de la vie, décasyllabe quand on a celle de la mort, c'bien foutu.) D'autant que l'absence de diérèse sur "bestiale" donne une spontanéité au vers qui se prolonge sur les quatre derniers. Oui, parce que "Plus rien n'est là", ça ressemble à rien, je l'ai même pas remarqué lors de ma première lecture.
Voilà, voilà... J'voulais faire un truc court, donc je m'arrête sur ça.
Dernière édition par Aʀτѕᴇɴοʀ le Jeu 20 Aoû - 13:21, édité 1 fois
Aʀτѕᴇɴοʀ- Ecuyer
- Messages : 392
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Localisation : For each integer A from 1 to 666 (Take random point in (Region set from (Position of (Paladin #0071) offset with (Arithmetic ( (Convert Integer (Integer A) to real) x 60060,61) ) ; (Arithmetic (Convert integer (Integer A) to real) x (Square root (Convert integer (Integer A) to real) ) ) ) ) to (Take random point in (Playable map area) ) ) ... Voilà, avec ça, si vous me tombez dessus, jouez au loto. Si vous avez rien compris, jouez au loto quand même.
Feuille de personnage
Nom des personnages: Artsenor (Oh?), Defaris, Kaoren Sor (En cours de création), Céophraste, Nihlvexo... Néolune, ça compte?
Re: Au paradis du poème
Nope ! Car ce Groseille se réfère directement a Yennefer de Vengerberg ,si je ne mets pas ce vers,elle n'est pas "directement" mentionnée ,il est donc très importantArtsenor a écrit:Bon, après, ton huitième vers... Quatorze syllabes, aucune rime, et tu prononces un "e" féminin juste avant une césure. Un vers dont on aurait pu en fait se passer.
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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Re: Au paradis du poème
Ah... ah ça, j'sais pas, je connais que dalle à The Witcher. Mais bon, le vers reste bizarre. Mais 'faut dire que l'expression "Mille senteurs" n'aide pas à comprendre ça. Mille senteurs de Groseille, c'est mille variantes d'une senteur de Groseille. C'est une expression utilisable au sujet d'un paysage, et surtout pas d'un personnage unique (À moins qu'il ne soit du genre changeant ou que mille senteurs le caractérisent de base, auxquelles s'ajoute la Groseille, et là, on peut envisager l'hypallage).
En dehors de ça, je l'ai pas dit pour faire plus court, mais ce vers est le seul à utiliser la première personne (au même titre que le dixième est le seule à utiliser la seconde). Ce vers apparaît incohérent. J'ai aucune idée de qui déclame, mais tu peux pas vraiment te permettre de passer immédiatement à la première personne au bout du huitième vers à moins d'avoir caractérisé précisément le narrateur grâce aux vers précédent. Et si c'est la mèche de feu, le vers est pas tourné de façon à le laisser entendre.
En dehors de ça, je l'ai pas dit pour faire plus court, mais ce vers est le seul à utiliser la première personne (au même titre que le dixième est le seule à utiliser la seconde). Ce vers apparaît incohérent. J'ai aucune idée de qui déclame, mais tu peux pas vraiment te permettre de passer immédiatement à la première personne au bout du huitième vers à moins d'avoir caractérisé précisément le narrateur grâce aux vers précédent. Et si c'est la mèche de feu, le vers est pas tourné de façon à le laisser entendre.
Aʀτѕᴇɴοʀ- Ecuyer
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Localisation : For each integer A from 1 to 666 (Take random point in (Region set from (Position of (Paladin #0071) offset with (Arithmetic ( (Convert Integer (Integer A) to real) x 60060,61) ) ; (Arithmetic (Convert integer (Integer A) to real) x (Square root (Convert integer (Integer A) to real) ) ) ) ) to (Take random point in (Playable map area) ) ) ... Voilà, avec ça, si vous me tombez dessus, jouez au loto. Si vous avez rien compris, jouez au loto quand même.
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Nom des personnages: Artsenor (Oh?), Defaris, Kaoren Sor (En cours de création), Céophraste, Nihlvexo... Néolune, ça compte?
Re: Au paradis du poème
Pour faire simple :
Les jours se meurent et les nuits se vivent
L'éternité vieillit et rajeunit
Les éternels ne sont rien qu'un instant de vie
La mort se désagrège et se renouvelle.
Les couleurs de la vie flamboient dans le ciel = Relation Yennefer/Geralt
Les pastels de ce lieu s'évadent et se noient = Relation Triss/Geralt
Une mèche couleur de feu se perd dans le vent = Triss Merigold (elle a les cheveux auburns )
Milles senteurs de Groseille parviennent à mon nez. =Yennefer de Vengerberg
Un sourire fleurit avant de disparaître Réunis puis séparés
Un rire se meurt au bord de tes lèvres Changement de situation
Un sourire se fend sur ce carmin brutal Emotion forte(typée guerrière)
Le rouge se noie dans l'ardeur bestiale. Rouge du sang , ardeur béstiale de guerre , peut se référée a la bataille du Mont des 14 ou a un acte amoureux
Un coup de vent.
Brusque et violent.
Tout s'envole.
Tout s’emballe.
Plus rien n'est là. Geralt,Yennefer et Triss ne sont plus ensemble,les deux sont présumées mortes lors de la bataille.
Les jours se meurent et les nuits se vivent
L'éternité vieillit et rajeunit
Les éternels ne sont rien qu'un instant de vie
La mort se désagrège et se renouvelle.
Les couleurs de la vie flamboient dans le ciel = Relation Yennefer/Geralt
Les pastels de ce lieu s'évadent et se noient = Relation Triss/Geralt
Une mèche couleur de feu se perd dans le vent = Triss Merigold (elle a les cheveux auburns )
Milles senteurs de Groseille parviennent à mon nez. =Yennefer de Vengerberg
Un sourire fleurit avant de disparaître Réunis puis séparés
Un rire se meurt au bord de tes lèvres Changement de situation
Un sourire se fend sur ce carmin brutal Emotion forte(typée guerrière)
Le rouge se noie dans l'ardeur bestiale. Rouge du sang , ardeur béstiale de guerre , peut se référée a la bataille du Mont des 14 ou a un acte amoureux
Un coup de vent.
Brusque et violent.
Tout s'envole.
Tout s’emballe.
Plus rien n'est là. Geralt,Yennefer et Triss ne sont plus ensemble,les deux sont présumées mortes lors de la bataille.
Lady- Trucideuse d'Exorcistes.
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