Jolly Roger (3 places disponibles =D )

// Argh! J'ai oublié le dé! Nelfhithion Aesiryon a effectué 1 lancé(s) d'un D100 :

10

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// Je ne sais pas si vous écoutez les musiques que je mets quelquefois, mais si c’est le cas, ne désespérez pas, elles vont bientôt revenir. Disons que je ne vois pas bien l’utilité de mettre un simple bruitage de mer … //

- Un Sloop de cette taille se suffit à 7 personnes, assurai-je à Romavius. Occupez-vous donc des voiles, si vous le souhaitez. Mais vous verrez que lors d’un abordage, l’esprit est bien trop stimulé pour se poser de questions, si bien que chacun sait parfaitement ce qu’il a à faire, ajoutai-je avec un regard approbateur.

Le laissant à sa tâche, je rejoignis le bord du pont et réceptionnai les cordes envoyées par mon second. Une fois cela fait, je contemplai à nouveau mon bâtiment. La coque était peinte de rouge, pour la partie inférieur, et de blanc, pour la partie supérieur. Le nom était peint sur une bonne moitié de cette coque, du côté de la poupe, dans une écriture soignée et dont les courbures des lettres apportées un effet esthétique surprenant. Les voiles étaient d’un léger beige, tirant un peu sur le jaune, et en haut du mat se trouvait un drapeau blanc triangulaire allongé, mis en place par Tirriri. Le support à Drapeaux étaient lui inoccupés. De toute façon, il était inutile d’hisser nos couleurs pour le moment, autant rester discret.
Le pont, lui, était parfaitement entretenu. Il était composé de planches de bois basiques correctement assemblées, et les rambardes gardaient une ancienne trace d’un vernissage passé. Les cordages étaient fermement maintenus par des nœuds imposants. Sur le pont trônait également dix canons en très bon état. Cinq gueules béants pouvaient donc cracher le feu à tribord, et il en était de même pour tribord. La réserve de boulets, visitées auparavant étant convenable, de même que la poudre, je pouvais compter sur cet armement.
Maeg, mon Second m’interpella. Il m’invita –presque religieusement – à venir prendre la barre. Je m’y dirigeai immédiatement, avec une fierté contenue. Lorsque j’empoignais cette dernière, l’agréable fraicheur du bois me remonta jusqu’à dans les coudes ; je ressentis de nombreuses sensations connus également.

- Merci, Maeg, dis-je simplement.

Ce dernier rejoignit ensuite les autres afin de préparer la manœuvre. Celle-ci se déroula sans encontre, et bientôt le Sloop voguait paisiblement vers la large porte ouverte par la baie de Torunta, laquelle débouchait vers l’Océan. Le vent était quasi-inexistant, aussi l’allure était relativement modérée, mais ladite porte se rapprochait petit à petit. Mes hommes discutait calmement entre eux, et moi, je contemplais le large s’ouvrir devant moi. Et enfin, mon vaisseau dépassa les derniers amas rocheux, et nous nous trouvions entourés d’un désert d’eau. Le ciel dépourvu de nuages laissai apparaître ces étoiles, dessinant de complexes arabesques au-dessus de nos têtes. Petit à petit, les voiles se gonflèrent sous l’emprise d’un vent d’Est déjà un peu plus pressant. Le Sloop s’inclina légèrement, mais la mer, aussi lisse qu’une pierre polie nous épargnait de roulis, rendant cette inclinaison inoffensive.
Les lanternes du bateau avaient été allumées, conférant au Sloop une ambiance réconfortante. Au loin, on pouvait apercevoir quelques points lumineux, sûrement un bateau ayant lui aussi éclairé son pont. Je sorti mon compas que j’ouvris d’un geste délibérément banal, et constatant que nous gardions un cap correct, je bloquai la barre, rangeai mon compas, et descendis à la cale, en pensant bien à emprunter une lanterne du pont. Je croisai plusieurs de mes hommes, lesquels je laissai à leurs activités. J’empruntai l’escalier me permettant d’arriver aux réserves. Ma lanterne diffusait une lumière hésitante, contrastant cependant avec les ténèbres ambiante. Une fois arrivé devant les vivres, j’hésitais longuement, et optai finalement par emporter une bouteille remplie de Rhum. Je remontai, et allai m’installer dans ma cabine, de laquelle je laissai la porte ouverte. J’y suspendis la lanterne, ouvrir la bouteille et en avalai deux grosses gorgées.

// Ne voyez pas là-dedans une ellipse temporelle ! Continuez ce que vous étiez entrain de faire. Je laisse une petite période libre, où vous pouvez faire ce que bon vous semble à bord du navire. //

-Un rêve? Répéta Pytagor Pas vraiment, je ne suis pas très ambitieux...
Je suis un guerrier qui voyage pour dépasser ses limites, mais, je n'ai pas d'objectifs précis... Disons que je veux voir jusqu'ou je peu aller avant de mourir, ce que je peut accomplir, c'est un peu un défi que je lance à moi même.
En devenant pirate, je me lance un bon "défi", la vie de pirate est rude, à ce qu'on dit!
Et toi? Qu'est ce que tu recherche?

Thorin pêcha donc une botte, enervé, et renvoya le hameçon a la flotte, en espérant attraper quelque chose d'autre que des déchets.

Furaille, tu ris et je te jettes par dessus bord...
Ce qu'il fit avec la botte.

Il aperçu assez vite qu'ils étaient en train de partir, façilitant la pêche par le déplacement de l'appat et la présence en eaux profondes.

Enfin il était sur mer! Après tout ce temps! Il allait enfin pouvoir faire un brin d'honnête piraterie, abordages, pillages, viols et sabordages. Bien qu'il soit assez difficile de voir des femmes sur des navires. Selon des vieux croutons qui devaient preferer que leurs compagnes aillent faire la cuisine et la vaisselle, plutôt que de naviguer. C'est pas super malin un vieux... Ou alors la piraterie n'existait pas encore... Enfin ça l'étonnait parce qu'il avait entendu parler de légendes remontant a la nuit des temps, où des pirates attaquèrent l'ancienne Sufokia. C'était avant Ogrest.

Il fut coupé en pleine reflexion, quelque chose mordait a l'appat.

// 1-30: Botte récémment jetée a la mer
31-60: Rien
61-80: Goujon
81-99: Truite ou plus gros
100: Trésor.

Nelfhithion Aesiryon a effectué 1 lancé(s) d'un D100 :

63

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Le crâ saisa de fixer le ciel et tourna la tête vers Pytagor.

Un rêve ? Non, j'en ai pas.

L'homme fixa de nouveau le ciel, se leva et se dirigea vers le mât, il commença une nouvelle escalade pour rejoindre le Pandawa à la hache, assit à cheval sur la barre, à quelques pas du Pandawa. Il plaqua sa main contre son solomonk pour l'empêcher de s'envoler.

Eh, fais gaffe, si tu tombes, tu va y laisser ta peau.

J’avais délaissé mon observatoire pour m’allonger dans la couchette de la cabine, dans laquelle je m’étais finalement lourdement endormi, la bouteille de Rhum couchée sur moi.
La nuit s’en été allé, laissant place à un vaste ciel bleu, orangé lorsqu’il jouxtait à la ligne d’horizon. Enfin, ça, c’était durant le début de matinée. A mesure que le zénith avait approché, une épaisse purée de poids nous était tombée dessus, à un tel point que de la barre à roue, j’avais du mal à distinguer la proue du Sloop. J’imaginais mes hommes dans leurs cabines, ou sur le pont. De toute façon, par un temps pareil, il n’y a qu’une chose à faire …

- Repliez les voiles !, ordonnai-je. Mes hommes exécutèrent la manœuvre, puis vinrent se rassembler sur le pont. Je descendis les rejoindre, et ôtai mon tricorne, libérant la masse de cheveux blonds légèrement crasseux, qui s’envolaient en mèche avec le vent. Je repoussai quelques une d’entres elles qui s’agitaient devant mes yeux, puis m’adressai à tous l’équipage. Nous étions entourés par une copieuse brume, et soufflés par un vent froid. Autour de nous, il n’y avait rien, aucune agitation, aucuns bruits, mis à part les bruissements de l’eau. En tant que marins, on ne peut que redouter un calme pareil, si aucune visibilité ne nous est offerte. C’en était presque effrayant.

- Messieurs … Nous devons faire halte …dis-je d’un air légèrement absent, le regard perdu dans la brume à tribord, croyant avoir distinguer une quelconque ombre mouvante, tout en enroulant une tresses de mes cheveux autour d’un doigt. Pour une durée indéterminée. Trop dangereux, par ce temps. 10 Kamas à celui qui arrive à me battre au …

Je me tus brusquement, mon regard cette fois fixé sur tribord. J’avais définitivement vu quelque chose. Je m’agrippai aux cordages, lâchai un bras que je fis passer du côté mer, et pivotai afin de pouvoir l’escalader. Quelques mètres plus haut, je me suspendu à l’aide de mon bras et de ma jambe gauche. Quelques mètres plus loin, des éclats rougeoyant palpités sur l’eau, et une épaisse fumée noire dansait autour de débris éparpillés sur l’eau. Peu à peu, la dérive conduisit notre bateau vers l’épicentre du phénomène. Un navire partiellement enflammé gisait sur l’eau, flottant comme il le pouvait. Amputé de son mât, brisé en deux, calciné, fracassé et entouré par la brume, la scène avait un petit quelque chose de sinistre. Pas seulement un quelque chose … Le navire avait été abordé. Pas la peine de chercher, il n’avait pas de survivants … Quoique … Ah, non, il est mort, lui.

Ce n’était pas un accident dû aux réserves de poudre. Le navire avait été abordé, et il n’y a pas longtemps. Vu l’étendu des dégâts, l’équipage devait être conséquent … Et seuls les Dieux savent à quel point les pirates s’adorent, entre eux … Je sautai sur le pont, et tout en retournant à ma cabine, j’ordonnai :

- Furaille, Bloodmoon. Prenez la chaloupe, montez à bord de cette épave et vérifiez qu’il ne reste aucunes richesses … Ou survivants.J’entrai dans ma cabine, farfouilla dans mes affaires et en ressorti, une bourse de toile dans la main.Romavius, montez hissé notre pavillon. Quant aux autres, préparez les canons. Exécution !

// Le Sloop est équipé de 5 canons à bâbord et autant à tribord. 5 tirs sont donc possibles, à cause de notre orientation envers nos adversaires. Le brouillard empêchant tous repères, nous sommes obligés de tirer à l’aveuglette, nous infligeant un lourd malus. Un d6 par canon, pour calculer les touches. Tir réussi => 1

Arty' a effectué 1 lancé(s) d'un D6 :

3

Arty' a effectué 1 lancé(s) d'un D6 :

6

Arty' a effectué 1 lancé(s) d'un D6 :

6

Arty' a effectué 1 lancé(s) d'un D6 :

5

Arty' a effectué 1 lancé(s) d'un D6 :

2

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Les sifflements de nos projectiles se perdirent dans l’ombre, et quelques « floop » retentissent éloignèrent nos doutes, nous avions lamentablement échoué. Les quelques carreaux envoyés par mes camardes archers s’avouèrent tout aussi peu convaincant. Désormais, tout le monde s’était immobilisé, en l’attente d’ordres, de mouvements, enfin, quelque chose du genre. Je gardais le regard fixé en face de moi, se perdant dans la brume, la main reposant sur le pommeau de mon sabre. Je me mordillai le coin inférieur de la lèvre, anxieux par l’arrêt brusque de toute activité.

- C’n’est pas normal … murmurai-je.

Pas à pas, je m’accrochai au cordage, dans le but de monter au nid de pie. Les alentours semblaient agités de multiples chimères invisibles, chaque tâche pouvait être un assaillant près à bondir. Je tendis l’oreille … L’eau bruissait autour de nous.
Une formidable détonation résonna. Un éclatant panache de feu illumina les environs, le bateau fut comme enfoncé de bâbord, la coque explosa en une myriade de débris acérés mortels. Le pont tremblai, je fus projeté par-dessus-bord, et me réceptionnai lourdement dans l’eau. J’avais les tympans qui sifflaient, un bras remplie d’écharde (voire pire) et j’étais trempé. En plus de ça j’avais laissé à la merci d’un équipage pirate mon bâtiment, qui en plus d’abriter mes compagnons étaient fortement amochés. Ces salauds nous avaient pris à revers …

// Blessés :


Chiffres attitrés :
Nathanaël Higgins => 1
Bloodmoon Thorin => 2
Romavius Astian => 3
Maegcair => 4
Furaille => 5
Pytagor Biphix => 6
Tirriri => 7

Nombre de blessés :

Nombre aléatoire (1,7) : 2