Chevaliers de l'Eclipse
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[WAKFU] Rédemption, Tome 1, Désespoir.

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Message par Tatiana Barrymore Dim 25 Mai - 15:28

Voilà, voilà, ça faisait un moment que j'avais commencé cette fic sur le fofo de Wak', alors j'me suis dit, pourquoi pas la poster ici et la partager avec vous ? Et bien voilà, c'est fait =). Je vous laisse découvrir le résumer et le prologue, en espérant qu'il vous plaira ! :P

Titre : Rédemption, Tome 1 : Désespoir.

Genre : Romance/Science-fiction/Aventure.

Résumé :


Sarae Keeper est la gardienne des Portes de l'Externam, le lieu où vit le Roi Dieu Hindrik, créateur de toutes les âmes. L'Externam est aussi bien sûr le monde de la désincarnation des âmes qui suivent le cycle éternelle. Sarae croit fortement au Roi Hindrik et a appris à se mettre en danger pour ainsi obtenir ce titre glorieux.

Kalgo Thernan, un Dieu Mineur de la Guerre ayant jurer fidélité à Iop est condamné depuis bien des années dans le Tartare, prison d'Ingloriom, la dimension des Dieux. Pour des raisons obscures dont seul eux deux savent, il est condamné à l'éternité a errer dans cette cellule sombre et sans vie. Jusqu'au jour où le Dieu Iop lui accorde une dernière chance, celle d'aller sur le monde des douze et redonner la foi aux habitants du monde. Si il y arrive, il obtiendra enfin la rédemption et sera libéré à tout jamais.

Mais lorsque Sarae et Kalgo se rencontre, deux contraires, deux croyants voués à des allégeances extrêmes...

Parviendront-t-il à s'unir... ?

Pour le meilleur...

Ou pour le pire.



Prologue, The Beginning Of The End.

[WAKFU] Rédemption, Tome 1, Désespoir. 470458KalgoThernan


Epoque des Dofus, Ingloriom, Palais de Iop.



Le Dieu Iop, le menton haut, droit et fière, regarda sa progéniture, à terre. Ce n'était qu'un enfant, un jeune garçon magnifique avec une force pratiquement égal à la sienne. Ces cheveux étaient noir de jais et son regard perçant, turquoise, comme l'azur. Nu et gisant au sol, celui-ci leva son regard vers son père, son créateur.

- A partir de maintenant... Tu t'appellera Kalgo Thernan et tu sera un Dieu Mineur de la Guerre, tu sera mon second. Tu suivra mes pas là où il te guiderons et ferons de toi un homme. Kalgo, tu m'appartiens désormais, car je suis ton créateur, fit la voix puissante du Dieu Iop.


Epoque du Wakfu, Ingloriom, Le Tartare.


Combien de temps cela faisait-t-il qu'il était ici ? Terrer dans cette cellule sombre, sans aucune fenêtre. Avec pour seule compagnie, les rats et des voisins de cellule beaucoup trop bavard à son goût. Chaque jour était un supplice pour son âme dépravé, il entendait les cris des prisonniers, ceux qui étaient condamné à mort, avant qu'il ne trépasse et que le silence n'assombrisse encore plus son désespoir.

Chaque jour, il entendait son camarade de cellule, qui lui racontait tous ses fantasmes s'il pouvait avoir une femelle sous la main. Ce qu'il pourrait ressentir, toutes ces choses que Kalgo avait bel et bien oublié avec les années. Il avait était condamné à l'éternité, condamné à errer tel une âme en peine dans une minuscule cellule.

Il n'y avait plus aucun espoir. Juste le désespoir.

Il aurait encore préféré que le Dieu Iop lui donne une épée pour pouvoir enfin mettre fin à sa vie, plutôt que de rester croupir ici pendant l'éternité. Il aurait préférer se plonger une lame dans le coeur, jusqu'à ce qu'il lâche son dernier souffle pitoyablement comme l'être dépravé qu'il était. Mais il ne pouvait pas, il se devait de se nourrir uniquement de remords et de désespoir.

Il avait mériter ce sort là, il le savait... Mais autant mourir que de lui laisser vivre un tel enfer ! Les dieux pouvaient être vraiment des êtres cruels et sans pitié ! Il savait les méthodes les plus efficaces pour faire sombrer un homme dans les ténèbres. Et c'est ce qu'ils avaient fait à Kalgo, il le lui avait enlevé le peu de pureté qu'il lui restait.

Ses yeux bleus étaient constamment ouvert, à l'affût. Il ne ressentais aucun besoin de dormir, il avait déjà beaucoup trop dormis pendant tous ces siècles. Ses cheveux noirs de jais hirsute était coupés courts et une légère barbe avait pris place sur son menton. Son teint était hâlé, sa musculature grande, bâti comme un dieu, sur l'un de ses bras il avait un tatouage. Une épée dans une grande flamme qui faisait le tour de son biceps.

A l'arcade, il avait une fine cicatrice, datant des jours où il était au service du Dieu Iop.

- Hé ! Hé, mon gars ? Tes réveillé ?!, demanda son voisin de cellule.

Kalgo resta silencieux, comme à son habitude, le regard noir.

- P'tain, sa fait un siècle qu'on est ici en ensemble et t'ma toujours pas adresser la parole !, ricana son voisin de cellule.

Kalgo tourna son regard noir vers lui, mais celui-ci ne bougea pas. Il avait un sourire sur les lèvres, les mains plaqués sur les barreaux de sa cellule, voisine à celle de l'ancien Dieu Mineur. Ces cheveux étaient châtains clair, son teint légèrement hâlé et ses cheveux coupés très courts, à la sacrieur.

Son regard vert étaient espiègle et tout un tas de tatouage longés son corps pratiquement de la même carrure que Kalgo. Il devait atteindre les deux mètres facilement, tout comme le brun. Il ne l'avait jamais remarqué auparavant, car il était sans cesse plongé dans ses affreux cauchemars et remords.

Et son aura... Il pouvait la sentir, elle était aussi puissante que la sienne.

Un autre Dieu Mineur, compris alors Kalgo. Il n'y avait que ceux qui avait commis des châtiments Divin qui était condamné au Tartare.

- J'suis Knuk, j'étais au service de Sacrieur, lui fit celui-ci. Et toi, qui t'est ? T'dois être sûrement un Dieu Mineur toi aussi... J'me demande c'que ta pu foutre comme connerie pour t'retrouver ici, déclara Knuk.
- Sûrement la même chose que toi..., gronda la voix de Kalgo.


Le visage de Knuk s'éclaira en un instant, jamais Kalgo n'avait osé lui adresser la parole en plusieurs siècles... Et c'était seulement maintenant qui le faisait... Il voulut lui adresser la parole une énième fois, mais il fut coupé par une présence féminine vêtue d'une armure face à la cellule de Kalgo.

Une envoyée des Dieux, Kalgo pouvait sentir sa puissance par tout les pores de sa peau. Alors ils avaient enfin décider de le tuer ? Quel soulagement... Après tant d'années de martyre, il allait enfin connaître le repos éternel.

- Kalgo Thernan, fit la voix de la femme, tout en ouvrant la cellule, avec une paire de menottes magiques en mains. Veuillez me suivre.

Kalgo se leva de ses deux mètres et jeta un regard à Knuk.

- Ravis d't'avoir rencontré, camarade, lui fit-t-il.


Puis il s'élança vers la femme qui menotta ses mains. Suite à cela, il la suivit dans les couloirs sombres où étaient regroupés des centaines de cellule. Il voyait ses camarades, penché aux barreaux, priant pour que leur dernière heure à eux aussi viennent enfin. Pour être libérer du Tartare, pour enfin, connaître l'ultime repos.

Ils continuèrent à marcher pendant un bon moment, le Tartare était immense, songea alors le Dieu Mineur. Il ne se souvenait même plus de sa taille, avec des années d'enfermements, il n'avait plus aucun souvenir, sauf ceux qui l'avait marquer à vie.

Une fois qu'ils furent hors du Tartare. Kalgo redécouvrit à nouveau devant lui ce paysage paradisiaque qu'offrait Ingloriom. Les chemins de pavé dans les nuages, longés par de petites fleurs multicolores aux senteur exotiques, le bruit des cascades de toutes couleurs se déversant dans le ciel. Et l'air... Ah ! L'air !

Combien cela faisait-t-il de temps qu'il n'avait pas respirer un air aussi pur ? Au Tartare, les odeurs ne s'étaient résumé qu'aux horribles puanteurs des gouffres, du sang et des cadavres.

Il pouvait le sentir, enfin, le vrai air, s'infiltrer dans ses poumons, chaleureusement et doucement.

La jeune femme continua sa route sur l'un des chemins de pavés et ils passèrent devant un panneau ornée en lettre d'or, où il y était marqué : Iop.

Ce nom fit resurgir en lui des souvenirs qu'il aurait préférer oublié. Les dents et les poings serrés, il continua sa route en suivant la jeune femme. Comme tous les envoyés des Dieux, que l'on appelé aussi Ange. Elle était blonde, avec des formes avantageuses, avec un visage aux traits fins et délicats.

Sadida les avaient crées lui même, en utilisant ses poupées comme modèle, disait-t-on.

A l'oeuvre des dieux... Exactement, a l'oeuvre des dieux.

Tandis qu'ils continuaient leurs chemins, Kalgo se ressasser tous ces souvenirs passé ici en compagnie du Dieu Iop. Le grand Divin lui avait appris l'art de combattre ici même, dans ces champs de fleur. Il se souvenait encore des injures que lui faisait celui-ci lorsqu'il faisait des faux mouvements. L'ombre d'un sourire apparus sur ses lèvres, mais il se retira aussitôt en pensant à l'Enfer que lui avait fait passé celui-ci.

Le Tartare, désormais loin dans son champs de vision. La prison ressemblait à un énorme volcan, de roche noirs, sous les quels l'ont pouvaient apercevoir de mince filet de lave se déversant. Il y avait passé tellement d'année, tellement de siècle de torture... Le Tartare... Jamais il ne pourrait oublier toutes les souffrances qu'il y avait connus, même après sa mort ces souvenirs cauchemardesque resterait encré dans sa mémoire.

A tout jamais.

Sur le chemin, les yeux de Kalgo durent s'habituer une dernière fois a la lumière incandescente du soleil qui lui brûler pratiquement les yeux. Au Tartare tout avait était si sombre, sans aucune lumière, hormis quelques torches accrochés aux murs. Il s'était beaucoup trop habituer aux ténèbres pour se refaire immédiatement à cette lumière brillante.

Quelques minutes après ce long chemin où Kalgo du s'habituer au tout nouvel environnement qui s'habituer à lui - et dont il aurait peu à profiter - ils arrivèrent enfin devant le magnifique temple de Iop.

Soutenue par de grandes colonnes blanches, des statues d'épées trônant fièrement auprès d'une fontaine circulaire sur les chemins de pavés face à l'habitat. Les marches étaient faites dans un marbre grisâtre et des écriteaux affichait en lettre d'or, était au dessus de la porte blanche majestueuse.

Courage. Vigueur. Sacrifice. Devoir. Honneur.

Tel était la devise de Iop.

La jeune femme porta trois coups à la porte, qui lui paru être pour lui le son des trompettes du jugement dernier. Ces trois fameux coups avant la mort...

Certes, il avait trahis son Dieu, son Créateur.

Mais il avait combattus pour lui, avec vigueur et honneur. Avoir était aux côtés de Iop, d'être considérer comme son propre fils était pour lui un honneur suprême qu'il ne pourrait jamais oublier, même s'il avait finalement atterris dans les profondeurs infernales du Tartare. Il l'avait mériter après tout, il le savait. Et désormais son destin funeste était tout tracé.

La mort l'attendait au delà de ses portes.

Quand la porte vint enfin s'ouvrir, dévoilant deux autres envoyés des Dieux, vêtus dans des armures d'or, la tête haute et le visage impassible.

La jeune femme qui l'accompagnait se tourna enfin vers lui.

- Mon chemin s'arrête ici, vous êtes attendus et les Dieux n'aiment pas attendre, allez-y, déclara-t-elle d'un ton froid, avant de reprendre sa route la par où elle était arrivé.

Kalgo ne dit rien, mais tout au fond de lui, il avait comme une présente envie de lâcher quelques jolies noms d'oiseaux à propos de cette femme. Mais il avait beaucoup plus important à faire.

Les dieux, oui. Ils n'aimaient pas attendre.

Quand il gravis enfin les marches pour arriver à l'intérieur du vaste palais de Iop, l'un des jeunes envoyés lui enleva ses menottes et lui indiqua le chemin de la main. En silence, il se dirigea à travers les couloirs immenses jonché par de long tapis rouge bordé d'or. Le sol aussi était de marbre, sur les murs, ils y avaient toutes sortes d'armes, hache, épée, lance, faux.

Tout ce qu'il fallait pour le réduire en bouillis en à peine un geste.

Une fois arrivé au bout du couloir, une autre porte se dressa face à lui.

Cette fois-ci il n'y avait ni envoyée, ni une blondasse chieuse. Juste le silence, un silence oppressant signifiant sa mort prochaine.

Alors le moment tant attendu était enfin arrivé. Derrière cette porte, il allait enfin connaître le repos éternel qui lui était dû. Les Dieux avaient bel et bien terminé de jouer avec lui, ils avaient décidés d'en finir, une bonne fois pour toute.

Le pas lourd et les muscles crispés, il marcha et les portes s'ouvrirent.

Une immense lumière blanchâtre l'aveugla pendant quelques secondes, avant qu'il ne puisse admirer ce qui s'offrait face à ses yeux.

Là, sur d'immenses marches descendante jusqu'à un pont de marbre, où tout au bout se trouvait deux personnes. Il ne put pas les distingués rapidement, car ils étaient trop loin, mais il pouvait sentir ces énergies écrasantes qui le cloué pratiquement au sol.

Mais étant le fruit des entrailles de Iop, il avait aussi hériter de ces capacités à faire face aux puissances phénoménales.

Les nuages flottaient pratiquement autour de lui, quand il eut enfin descendus toutes les marches.

Il avança, avant de découvrir une magnifique femme aux longs cheveux châtains bouclés, son teint hâlé, un visage aux traits fins, des petites oreilles pointues où il y avait plusieurs boucles d'oreilles. Et ses yeux... Deux orbes améthystes dont la pupille était pratiquement inexistante.

Elle était vêtue dans un péplum blanc, avec plusieurs bracelets d'ors sur les bras.

L'homme à ses côtés étaient de dos, sa carrure plus grande que de quelques centimètres que celle de Kalgo, ses longs cheveux étaient roux et sa longue cape pourpre retombait dans son dos puissant. Il tourna alors son regard vers Kalgo.

Un regard ambré qui semblait connaître les moindres tréfonds de son âme. Quand il reconnus Kalgo, son expression se fit plus dur.

- Je dois t'avouer que tu as était un vrai cas de conscience Kalgo. J'espère que toutes ces années au Tartare t'aurons fait réfléchir, prononça le Dieu Iop lui même, en chair et en os.

Plus aucuns mots ne semblait pouvoir sortir de la gorge de Kalgo. Il arrivait à peine à respirer. L'homme qui l'avait crée, élevé et enfin damné était face à lui. Dans toute sa splendeur.

Il semblait avoir beaucoup rajeunis, constata Kalgo avec ahurissement.

- Tu la remarqué, déclara la femme à ses côtés.

Kalgo savait de quoi elle voulait parler.

- Vous n'êtes pas l'homme qui ma damné, réussit à dire Kalgo.

L'expression de l'homme se fit alors plus douce et un sourire en coin apparus sur ses lèvres.

- Je suis son fils, le Demi-Dieu Goultard le Barbare. Malheureusement nous n'avons pas pu nous connaître, je n'étais même pas encore né que tu étais déjà adulte. Mais j'ai entendu parler de toi, de ton histoire.

Maintenant tout était plus compréhensible.

La femme à ses côtés, qui semblait être à tout point de vue la Déesse Sacrieur repris la parole.

- Tu a passé tellement d'année au Tartare, sans que nous sachions faire quoi que ce soit de toi. Le monde à changer ici bas..., fit-elle en jetant un regard mélancolique vers le vide en dessous du pont. Nous avons besoins de quelqu'un qui à la foi, un guerrier qui a vécus les pires souffrances pour pouvoir redonner au monde sa splendeur d'antan.
- Et nous t'avons choisis toi, Kalgo Thernan, Dieu Mineur de la Guerre.


Cela faisait tellement longtemps qu'on ne l'avait pas appelé ainsi... Il pouvait pratiquement sentir des ailes poussés dans son dos.

La reconnaissance éternelle, voilà ce qu'il avait toujours désiré.

- Alors finalement... Je suis toujours utile à vos yeux, repris Kalgo.
- Tu la toujours était. Et nous te proposons un pacte, continua Goultard.
- J'écoute.
- Redonne à la foi aux habitants du monde des douze et tu sera enfin libérer à tout jamais.


Pour connaître la rédemption.

Les seuls mots qui parvinrent à sortir de sa bouche, furent :

- J'accepte.



A SUIVRE...



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