Mémoire d'un vampire

Debout au milieux des ruines un vampire observe.
A genou au milieux des ruines un homme se souviens.
Couché au milieux des ruines un mari pleure.

Se souvenir est celui d'une nuit en Nurenuil proche de la frontière d'Haynaillia en un temps ou possédé un château a cette endroit ne vous valais pas une mort certaine.
Au cœur de se même château, une cérémonie de deux personnes était donné en l'honneur de deux jeunes gents sur le point de se marier.
Mariage illégale car de nature profane, unissant avec la lune pour seul témoin une jeune Nurenuilienne humaine et vampire Haynaillien.
Lui, habiller de noir la longue cape flottante éclairé par la lueur blanche de l'astre lunaire qui semblais jouer avec les beau trais de son visage.
Elle, vêtu de blanc la ligne gracieuse et le visage rayonnant restant dans l'ombre de peur que sa beauté n'aveugle son mari.
Les deux époux s'unissant, ainsi mêlant la lumière et les ténèbres. Souhaitant a tout prix que leurs deux monde ai un jour une paix durable symboliser par leur union.
Douce et paisible perspective, qui ne fut pas du gout de certains... Changeant le soir le plus heureux de l’existence de ses deux êtres en une nuit maculé de sang.
Car, alors que tout deux retenaient leurs respirations pour se donné l'un a l'autre dans un baisé scellant leur union. Leurs lèvres ne purent jamais se touché...
Une flèche de frêne! planté dans leurs deux gorge les reliant comme une chaîne, les transperçant dans une douleur terrible les conduisant vers une mort certaine.
Regardant dans les yeux suppliant de sa fiancer qui lui demandait silencieusement de l'aide il ne vit pas les humains entrant dans l'enceinte des mur de sa demeure.
Il ne les vit pas mettre le feu et massacré toutes résistance que leurs opposais les goules et les humains vivant dans ces lieux.
Il ne les vit pas non plus fuir alors que le feu devenu incontrôlable réduisais les lieu en cendre et laissant la bête a la proie des flammes.
Ne sortant lentement de son état de choc qu’après coup, relevant lentement ses yeux du corps encore tiède de la femme qu'il a aimé, il découvris son foyer en flamme le sol couvert des corps de ses serviteurs
Pris alors d'une rage infini, il brisa la flèche qui le relier encore a sa femme morte et planta rageusement les croc dans son cou les yeux en larme autant de tristesse que de haine, buvant jusqu'à plus soif, buvant pour la survie, buvant pour la vengeance.
Puis encore affaibli il arracha ses vêtements larges qui le ralentissais et rampa pour sa vie, maudissant chaque humain sur cette terre! Se servant de cette haine pour survivre.
Il rampa ainsi, poursuivi par les flammes qui lui léchais les pied jusqu'à une trappe caché lui servant de cave ou il s'enferma et demeura ainsi. Longtemps. Très longtemps.
Longtemps après que l’incendie fut fini. Longtemps après que l'inquisition ai trouvé ses vêtements brûlé et l'ai déclaré mort. Longtemps après que la poutre qui s'était écraser sur la trappe de sa cave ai pourrit. Juste après qu'il ai fini de pleuré...

Aujourd'hui bien des années plus tard une silhouette refait parfois surface de son monde sous-terrain. Une silhouette triste d'un mari ayant perdu l'amour tragiquement. La silhouette dur d'un homme qui se remémore la vie qui peuplé ses lieux il y a fort longtemps. La silhouette glacé d'un vampire a la faim dévorante.