Le Quartiel!

Le corbeau que Jack avait déposé au château Vantusius revint enfin, peut-être certes pas au meilleur moment, mais il portait une réponse.


Inconnu
Jamais je n'aurais impliqué ce qui est certainement un mercenaire dans une affaire impériale. Question d'honneur. Cependant, par mon imprudence, vous êtes dorénavant informés de plan confidentiels. De ce fait il est de mon devoir de faire en sorte que vous n'ébruitiez pas cela, et donc de vous impliquer dans l'affaire.

Attendez la fin des épreuves de cette journée, puis retrouvez moi à l'entrée arrière du Colisée. Je serais avec le Baron Despiza et nous discuterons de votre implication.

Paris Aspida, Baron de l'Ordre des Quatre


Dans l'arène, Juda Cheverell était descendu également, la mine sérieuse. L'homme portait en armure cuir et côte de maille. Il dégaina son épée et ne dit absolument rien, se contentant d'attendre le début du combat. Quand il fut déclaré, il fut le premier à passer à attaque, engageant le combat d'un coup latéral visant la partie supérieure droite de Thelden.


En ville, Narvie pouvait voir le second malfrat sortir de la maison. Plutôt de force. Il était maintenu en l'air par une force sans aucun doute magique et se tenait le cou en se débattant. Sortit avec lui une femme en grande robe noire aux longs cheveux bruns si longs qu'ils atteignaient au moins sa taille. Elle avait des yeux d'un ocre brillant. La femme avait une main levée, deux doigts dépliés vers la gorge de l'homme.
-Si vous venez me déranger une seule autre fois. Une seule. Je vous tue. Je ne suis pas votre alliée, et je ne parlerais qu'à Fauster.
Elle étendit tout les doigts de sa main et il fut projeté en arrière comme son camarade. Après cela, elle rentra dans la maison et la porte se ferma brutalement.

Thelden parvint à surprendre Juda qui laissa exprimer un grognement contrarié alors qu'il chutait de la prise de Thelden. Une fois au sol, ce dernier roula sur le côté avant de se faire menacer par la lame de son adversaire, pour ensuite se dresser sur un pied, tentant de se lever pour prendre à nouveau une posture agressive.

Les malfrats étaient dans un bien pitoyable état. Le premier à avoir été éjecté était assommé, totalement inconscient, tandis que l'autre gémissait de douleur au sol. La femme ne sortit pas de la maison à nouveau. L'homme encore conscient se releva avec difficulté, et entreprit de porter l'autre , jetant un regard pour voir si aucun garde ne traînait visiblement. Il avait grand mal à relever le corps inconscient de son camarade et pousait des jurons.

Juda ne put se dégager. Ce dernier abandonna rapidement, ne semblant pas d'humeur à affronter un adversaire qui était de toute évidence techniquement plus fort que lui, le défi l'intéressant relativement peu. Il se retira donc.

Et du côté de Narvie, le bandit blessé gémissait en grognant.
-Merde, merde ! Je saigne putain ! Fit il, rouge de colère et tout essoufflé.
Arh… Va te faire le nain, sérieusement… Tu bosses pour l'empire ? J'ai rien fait bordel !

Le dernier combat de la matinée débuta. Milo entra dans l'arène, faisant craquer les articulations de son cou et visiblement de mauvaise humeur. Dario Estéfiel lui arborait toujours son sourire narquois et provocateur, sa lance sur l'épaule.
-Eh bien Milo ? Qu'est ce qui vous tracasse ? Le rôti de hier soir n'était pas à point ?
L'Aspida ne répondit pas et dégaina son espadon. Il ne semblait pas d'humeur aux échanges verbaux non plus. Dario haussa les épaules, se mit en position, et le combat débuta. Le Waien fut le premier à passer à l'attaque, relevant le manche renforcé de son arme pour bloquer l'arme de son adversaire, puis exécutant une taille de sa lance en traçant un arc de cercle vers le cou de Milo. Ce dernier interposa son bras, et son canon d'avant bras blanc suffit à stopper le coup. Il tenta alors d'assommer Dario du pommeau de son espadon, mais ce dernier recula vivement et tenta de suite un estoc de son arme, mais le fer de lance frotta l'épaule de Milo, couverte de sa côte de maille, tandis qu'il chargeait sans hésitation vers son adversaire pour lui enfoncer son poing dans le visage. Milo sourit de satisfaction. Dario recula en arrière puis se repositionna. L'Aspida attaqua à nouveau, effectuant un grand demi cercle de sa lame que son adversaire para, cependant il ploya également sous la force de son opposant. Il donna un croche patte au noble, ce qui le déséquilibra un instant, puis il enfonça sa lance entre l'épaule et la poitrine de Milo. Ce dernier saisit le manche de l'arme, une expression de fureur sur le visage, et, maniant sa lourde d'épée d'une main, infligea une blessure similaire à Dario, qui fut cependant bien plus profonde, traversant son corps. Il ressortit l'épée et un flot de sang s'échappa, il avait visiblement touché un endroit sensible, et Dario renonça à continuer sur le champ.

Les combats de la matinée se terminèrent ainsi.
-Mon frère a toujours un chic pour le combat brutal… Commenta Athos. Pas autant que votre Jack, cependant.
Milo sera ton adversaire demain, Thelden. Fait vraiment attention, il est non seulement très fort, mais il est prêt à tout pour gagner, même si c'est pour finir à moitié mort. Tu es tombé sur des opposants plutôt moyens jusqu'alors, dis toi que le changement va être brusque.

Thelden remonta dans la loge des combattants sans plus de cérémonies que de saluer son adverse.

Il répondit à Athos :
- Ouais, et surtout, il est bien blessé maintenant. J'ai pas bien vu à cause de mes mauvais yeux le lieu précis de sa blessure, mais il va beaucoup moins bien bouger. Toutefois, t'as raison, je prendrai garde. Et toi, quel est ton prochain adverse ?

Soudain, Evelia fit irruption. Thelden s'exclama :
- Aaah ! Comment ce sont passées tes affaires matinales mon écuyère ? Le marchandage s'est passé comment ?
- Heu... ... ... Silence pesant et gênant, durant lequel Evelia tentant désespérément de trouver une façon d'expliquer la situation de manière codée.
- Bof. fit-elle, en levant les épaules, d'un air assez embarrassé.
- Un deal pas terrible mais y'a pire..., je vois.

a présent que les sélection matinales avait eu lieux, Martin se souvint qu'il avait des personnes a retrouvé. il chercha donc de nouveau un peu partout les Scarath, ou des personnes de la veille a l'auberge qu'ils aurais envoyer ici.

de son coté Narvie estimait que la vie de l'autre était suffisamment sauve pour ne s'occupé que de l'autre et de ses blessures. il sortit d'une poche de sa cape quelques bandages qu'il agitât proche du visage de l'homme blesser en riant.
-moi? naaaan. un impérial t'aurait mis des fer et traîné de façon solennelle jusque dans la plus proche geôle. non moi je suis juste un petit curieux avec d'un coté de quoi faire un garrot et des pansements, et de l'autre un couteau pour te faire a toi et a ton compagnon des petit trou en plus si tu ne me donne pas de réponses. satisfaisante bien sur. alors je commence. qui est la femme dont tu viens de sortir un peu brutalement et quelle est votre relation avec elle et avec fauster. et en détail s'il te plais. dit il un grand sourire aux lèvres, en pointillant la cuisse du malfrat avec la pointe de sa dague sans pour autant percer trop fort la chair, mais de façon a se que ça soit assez douloureux quand même pour qu'il ne prenne pas le temps de réfléchir a un mensonge. comme disait toujours son maître il y a des années, on obtiens bien plus souvent se qu'on veux en demandant poliment avec une arme a la main, qu'en demandant poliment tout court.

Quelques instants plus tard, Milo remonta, sa blessure étant fermée. Il semblait de bien meilleure humeur à présent.
-Ce Dario t'as bien amoché. Tu iras bien pour ton prochain duel, demanda Athos.
-Oh, tu me connais.
Il se tourna alors vers Thelden et Catia. Martin était lui, partit à la recherche des Scarraths.
-Si je vous invitais à ma table au hall des combattants, pour le déjeuner de ce matin ? Nous avons fini nos combats Thelden, Athos, je pense que nous pouvons nous permettre le luxe de déboucher une bouteille ensemble.
-Hm, je comptais néanmoins partir à la recherche de cette sorcière...
-Allons, mon frère ! Je sais que tu partiras comme tu es venu, une fois le Quartiel fini. Tu me manqueras.
-Bon… Je te l'accorde.
-Hey hey hey ! S'exclama Lily, importune comme à son habitude. Je suis également invitée.
-Heum, si vous voulez. Damoiselle Aglaglore c'est cela ? Bien, vos talents à l'épée vous accordent une place exceptionnelle.

-Dans ce cas… Thelden, tu es partant ? Demanda Athos.

Martin, lui, pouvait trouver Mounir, seul, les pieds sur une table. Il semblait particulièrement agacée.

Et du côté de Narvie.
-Woh, woh ! Du calme nabot ! Si on est passés la voir c'est parce qu'on sait quedal aussi, alors me mutile pas plaisir ok ?
Tout ce que je sais de la beauté qui habite dans la maison, c'est que c'est une puissante mage que Fauster appelle Bishop. Son pseudonyme, peut-être. Je sais qu'elle bosse avec Fauster. Pourquoi ? Ca notre patron nous a rien dit… Il nous a demandé de la menacer pour qu'elle se tienne à carreau, car on a aucune autorité sur elle… Comme tu le vois… Ca a pas marché.
Si tu veux en savoir plus t'as qu'à demander à Bruce, notre boss. Il se trouve à l'auberge de l'impur porc...C'est un  type presque aussi petit que toi, avec un menton cassé. Mais… Héhé, il sera sûrement accompagné de gros bras. Je crois pas que tu pourras lui faire cracher ce qu'il sait.
En tout cas je sais pas ce que Fauster et Bishop foutent, si ce n'est que c'est un foutra magique trop compliqué pour nous.

Catia jeta un coup d'oeil à Reynsla qui l'avait interpellée et restait à présent muette sans bouger... Decidemment elle était étrange. PUis elle se tourna vers l'Aspida pour accepter son invitation. Si les autres y allaient, pourquoi pas elle ?
Dans tous les cas elle était rassurée que Jack semble pouvoir s'en sortir.
Enfin, maintenant qu'elle avait Milo en face elle pourrait lui demander directement.

-Sans indiscretion, sieur Milo... Quel est votre passif avec la Friedsang que vous avez affronté hier? Vous sembliez bien vous connaitre, mais pas dans le bon sens du terme.

Ils étaient à présent attablés. Devant la question de Catia, Milo se gratta le menton avec un agacement léger.
-Ceci est une affaire personnelle. Pour tout vous dire, bien que cela ne la concerne pas directement, elle me hait pour quelque chose que j'ai fait et qui lui a grandement déplu. N'en tenez pas compte, Kartsa est une femme étrange. En revanche je tiens à vous dire que toutes les rumeurs sur une relation passée entre nous sont des ragots faux et faciles.
Un valet apporta la bouteille de vin attendu, que Milo déboucha personnellement.
-Voyez, fit il en se servant, je crois qu'elle se représente en moi... Une sorte de rival? Ce qui me flatte, mais est inapproprié. Enfin, passons. Catia, vous allez affronter le chiot des Vantusius, Hast, n'est ce pas? Ah! Le pauvre a du croiser les doigts pour ne pas tomber sur des gens trop forts pour lui. J'espère sincèrement que vous lui donnerez une bonne leçon... Normalement, nous aurions dû recevoir au Quartiel le prochain comte, Glaive Vantusius, mais il est cloué au lit, alors... Eh bien, il fallait bien quelqu'un pour représenter la famille maître de l'Ordre des Quatre, et on l'a désigné... Soyons franc, je ne l'aime pas. Toujours à sa cacher quand les choses deviennent sérieuses!... Mais bon. Ca reste un Vantusius. Rossez le tout de même bien de ma part, hein!

-Je ferais de mon mieux, mais pas de votre part, répondit Catia en un sourire. Ce tournoi est un defi personnel.

-Ah, je suis un cas particulier, Thelden. Ceci est mon troisième Quartiel. Une tradition ancienne veut que chaque Quartiel recoive un membre des familles de l'Ordre des quatre. Un Vantusius, un Aspida, un Reizhan, et un Agmen. Il nous faut donc un Aspida, hors nos cousins se sont retirés des armes et se sont rapprochés de Gahartelle. Ne reste donc que la branche principale qui comprend nos parents, moi, Athos, Sophitia, et Cassandra. Athos et Sophitia sont rarement dans la région, et Cassandra est une dame. Alors il n'y a que moi pour représenter père à son propre tournoi. Non pas que ça me dérange, car il y a une seconde raison à ma présence: j'adore me battre.
-Milo a toujours été un homme violent, se moqua Athos.
-Ah! Prends gare à tes mots Athos. Il y a douze ans, tu étais un si piètre escrimeur que père disait que Sophitia avait volé l'homme qui était en toi dans ton berceau!
-J'ai prouvé que ceci était faux, n'est il pas? Et puis je n'étais pas si piètre...
-Bah! Tu seras toujours petit frère!
Dans tout les cas, je suis ici pour le combat, et rien d'autre. Peu m'importe la récompense, très honnêtement. Mon but serait de gagner un Quartiel avant de devenir moi même baron, et ne plus pouvoir y combattre. Et j'aurais put remporter le précédent, si ce n'était pas pour ce satané Tirado qui m'a bien humilié. C'est le vainqueur du dernier Quartiel, et le rival de Bernard Reizhan. Malheureusement on ne l'y verra pas, car il a été appelé pour renforcer la sécurité de la ville. On craint en effet un coup du Croc Noir.

-Ah, oui, on en a vaguement entendu parler, fit Catia, feignant l'ignorance. Que ferait une organisation Scarrath dans les environs, selon vous? J'imagine bien que vous n'êtes au courant de rien, mais c'est tout de même curieux.

-Oh il est un peu fou.
-Un peu? Réagit Athos, comme offusqué. C'est trop mesuré!
-Allons, il n'est pas si mauvais.
Emmanuel Despiza a, pour certaines raisons, tenté de voler l'épée d'Athos... C'était une longue aventure. Mais je ne l'ai qu'un peu aidé, il vous expliquerait cela mieux que moi.
-Dans tout les cas, Despiza est un malade. Je ne l'ai pas tué car ce n'est qu'un imbécile, et pas un homme malfaisant. Il n'en reste pas moins très dangereux. Si vous êtes capable de supporter son flot de paroles, alors, essayez donc de lui parler... Je ne le supporte pas, personnellement, et il a tout de même tenté de me tuer plusieurs fois. J'ai entendu dire que maintenant, il travaillait pour l'empereur, cependant cea n'explique pas pourquoi il met un artefact comme la Gemme Céleste en jeu au Quartiel. J'ai beau dire que c'est un imbécile, il reste un mage. Il ne ferait pas ça pour rien.

apercevant le scarath, Martin s'approcha de lui avec l'air le plus jovial et avenant possible. un grand sourire aux lèvres malgré le stress de n'avoir plus son maître pour le couvrir en cas de pépin, il se présenta devant lui avec une petite courbette rapide.
bonjour monsieur. j'espère ne pas trop vous déranger mais je me demander si vous aviez réfléchis a se dont nous parlions hier. peut être voulez vous que nous allions discuter ailleurs?

de son coté Narvie soupira un grand coup en face de la petite crapule blesser.
très bien... dans se cas il me semble que je n'ai pas le choix je vais devoir en passer par des gents qui savent et remonté le plus loin possible a partir de vous.il jeta encore un coup d’œil au malfrat blesser. néanmoins tu m'a déjà donné bien plus d'information que je n'en espéré de ta part en en contre-partie je me doit de respecté mes engagements. il tira son petit barda de pansement, fils et aiguilles, ou onguent de ses poches et soigna les deux du mieux qu'il put. maintenant je l'espère vos vies ne sont plus en danger. pour l'instant. je vais a l'impur porc. vous voulez que je vous dépose quelque part? transporté deux hommes blessé n'est pas un souci pour moi sur une distance comme celle si. et vu votre état a vous deux si je vous laisse ici vous finirait manger par des chiens des rues malgré les quelques soins que j'aurais pu vous donné. en vérité son objectif en soignant les deux zigoto et les transportant jusqu'à l'impur porc était évidement de s'attiré un petit peu les faveurs du boss. mais si ils préfères crevé la bouche ouverte alors il n'aurais qu'a utiliser quelques méthodes d’extorsion qu'il connaissait par cœur. même si ça serait dommage d'en passer par la pour quelques menues informations sur quelques foutu mages.

-Pas besoin, répliqua Mounir. Je ne combattrais pas. Ca ne vaut pas le coup de toute façon… Je n'ai pas envie de créer plus de soucis. Je resterais passif maintenant… La situation est réglée. Tu gagnes.
Laisse moi, maintenant.


Les deux bandits acceptèrent l'offre de Narvie sans trop de problème apparent. Quand ils entrèrent à l'auberge de l'impur porc, un affreux nabot au menton cassé se leva brusquement, visiblement de très mauvais poil. C'était sans aucun doute Bruce.
-Foutre dieux ! S'exclama t-il en marchant vers Narvie. Urkil, Amin, c'est quoi ce bordel ?
-Euh...

visiblement le scarath avait était ramener a contre cœur sur la voie de la raison par ses amis. cependant cela ne l'arranger pas du-tout, il était son plus précieux atout pour sortit d'une quelconque emprise qu'aurait eu sur lui Fauster, et maintenant que la victoire lui est automatiquement accordé sans plus personne pour se mettre sur son chemin Martin se sentait plus perdant qu'aucun de ceux qu'il aurais eu a affronté. mais ça n'était pas fini pour autant. d'autant que se soudain retournement de situation ne présager rien de bon non plus du coté du scarath qui pourrait toujours maintenant que plus rien ne les lie, dévoilé la tricherie de Martin. et bien peu importe. Martin salua Mounir avant de tourné les talons. le destin avait choisis que cela arriverais, alors Martin fera le nécessaire une fois se tournois fini... pour le plus grand bien.

-ho disons que ses messieurs ont eu une altercation avec "l’évêque" qui est arrivé en ville dernièrement, l'un d'entre eux a pris un sacré coup de crosse, je lui ai donné les premiers soins mais je vous conseil de vous en occupé au plus vite. quand a l'autre un peu de repos dans un vrai lit ne lui fera pas de mal mais c'est un grand gaillard il s'en sortira. après avoir déposé les deux sur des chaises proches Narvie se retourna vers Bruce. quant a moi je suis la pour en apprendre un peu plus. je vous ai ramener vos deux copains entiers en toute bonne foi, ça serait bien la moindre des choses que de prendre une petite bouteille et de discuté entre hommes respectables de la situation dans cette ville non? dit il avec un grand sourire sur le visage mais un regard dur qui ne laissais aucun doute sur son sérieux.

Bruce croisa les bras et considéra un moment Narvie et les deux hommes. Ce après quoi il rit aux éclats avant de brusquement reprendre une face sérieuse et de taper des mains. Plusieurs hommes dans l'auberge se levèrent tout d'un coup, à la surprise de quelques clients qui songèrent à décamper. Malheureusement, une armoire à glace aux cheveux blonds cendrés avait déjà refermé la porte et, une masse de bois à la main, s'y tenait, attendant patiemment tout ordre de son chef.

-Tu vois mon gars, reprit Bruce, y'a plusieurs problèmes majeurs…
Le premier, c'est que tu ramènes mes gars qui étaient supposés faire flipper Bishop.
Le deuxième, c'est que tu sembles en recherche d'informations et que tu participes aussi au Quartiel.
Tu vois, hier, la tente de Fauster s'est faite attaqué par un malade pyromane qui bossait clairement pas pour l'état. Alors j'ai toute les raisons d'être méfiant. Soit t'es un molosse engagé par cette vieille pute de sorcière, soit tu fais partie d'un autre organisme et un autre joueur est dans la partie…

Bruce tira une chaise d'une des tables et eut ensuite un petit rire mauvais, tandis que des hommes prenait brutalement les blessés pour les emmener ailleurs. Ces derniers ne semblaient guère rassurés.
-Tu vois, le général Tirado n'a pas encore d'influence dans cette auberge, parce que ses hommes sont occupés à défendre les endroits importants. Et y'a une petite dizaine de mecs ici qui ont tous sur eux un objet potentiellement létal. Alors à moins que t'arrives à passer sur le corps Ursin, le crétin à la porte, t'es dans la merde mon gars. Mais tu peux aussi t'asseoir à cette table et on parlera… En hommes respectables. Mais selon mes conditions. Je t'offre même le déjeuner, en homme accueillant. Par contre, Narvie, laisse moi dire que si tu loupe ton duel avec les nobliauds de l'arène j'en ai rien à foutre.


// J'comptais aussi écrire le combat de Sun contre Lily, pour faire avancer les choses. Mais ca viendra demain. //

globalement... ça c'est vachement mieux passer que se qu'il avait prévu. ils ne l'ont pas empaler a l'arbalète a cent mètre du bar, l'ils ne l'ont pas assassiné sur place, et ils acceptes mêmes de discuté non sans une certaine méfiance et un besoin de joué selon leurs règles mais ça rassure même assez Narvie car le Bruce se sent donc assez vulnérable pour avoir besoin de sa petite marge de sécurité. Narvie sait qu'il aurait potentiellement ses chances si il voulais s'échappé... non sans en tiré un membre en moins et trois litre de sang sur le pas de la porte car cette Ursin et ce Bruce sembles costaud quand même, mais si la situation dégénérait il pourrait en géré quelques uns de ses bourrin. mais ça n'est pas se qu'il veux. se qu'il veux c'est reposé sa foutu vielle ossature sur le dossier d'une chaise et qu'on arrête de lui mentir ou de lui cacher des choses cas c'est un point sur lequel même en son temps de chef de bandit il n'avait jamais réussis a supporté.
-je ne voie aucun problème a se que tu pose tes condition Bruce. dit il en s'installant a la petite chaise qu'on lui tendait sans même un geste d’hésitation.après tout je suis venue ici pour discuté. je suis vraiment désolé pour tes gars, mais leur rencontre avec l’évêque semble ne pas vraiment lui avoir fait peur, au contraire elle les a mis dans cette état avec tant d'aisance que je me doute qu'elle n'aurais aucune mal a tous nous tué si elle venait a se pointait ici. ne prend pas cette tête j'ai bien vérifier en venant de ne pas avoir était suivit par une personne volant de toit en toit. comme tu l'aura donc compris je ne travail ni pour l'état, ni pour Fauster mais pour un tiers dont je te rassure les intentions ne vont pas contre toi ou ton petit groupe, car comme tu l'a déjà deviné aussi je ne suis a la recherche que d'informations. je t'ai ramener tes deux gars en vie après les avoirs vue gisant au pied de la porte de notre amie l’évêque dans un bien piteux état, si ça c'est pas un signe de bonne foi. ho et ne t'en fait pas pour mon duel. il n'a rien a voir das l'affaire qui m'occupe, je compte d’ailleurs l'abandonné. dit il avant un regard amical très calme et très doux, fixant tranquillement Bruce comme lors de n'importe qu'elle conversation entre amie ou ils ne serait pas du-tout entouré d'une douzaines de gros bras armé de surins.

//ça serait bien d'attendre un tout petit peu pour le combat lili et sun. qu'au moins j'ai le temps de ramener Narvie a l'arène.//