Le Quartiel!

Cromwill, la ville au lac, ou bien la ville des chevaliers dans la bouche des plus glorifiants, était qualifiée à juste titre d'être une des plus belles du monde Impérial. Elle accueillait près de soixante dix mille habitant et parmi eux, la glorieuse famille des Vantusius. De toutes les familles de haut nobles, c'était la plus ancienne et la plus prestigieuse. La ville était profondément marquée de leur influence et de leur esprit, ainsi Cromwill était un lieu des plus attachés aux traditions ! L'on pouvait dire qu'elle s'opposait en ce fait à l'autre grande ville impériale, la capitale Gahartelle qui était de plus en plus axée sur le progrès et l'attente d'un futur de plus en plus nouveau. Les cromwillois avaient cet esprit très traditionaliste qui provoquait parfois les railleries ou au contraire, le respect. A Cromwill, les enfants étaient baignés dans les légendes de héros et de bêtes mythiques, et l'esprit local inondait de mythes et de superstitions, d'épées ensorcelées, de fées et de spectres. L'on faisait aussi grand cas de la bravoure. Les valeurs les plus importantes étaient ici le courage, le devoir, et la famille. Cette dernière surtout était laissée à une grande importance, cependant, le lieu étant ancré dans un esprit conservateur presque alefridien, il était aussi assez étranger aux valeurs plus modernes. C'était ainsi que vivaient les cromwillois dans cette ville aux tuiles rouges et orangées et aux petites maisons.  Car là où les villes  impériales aimeraient faire dans la grandeur et la hauteur, la simplicité était plus en vogue ici et en comparaison des autres cités Cromwill était basse. Le plus haut point de la cité était le clocher qui régulait de sons les périodes de la journée.
Elle perdait ainsi en majesté, mais était de part les couleurs de ses toits et de ses pavés d'une beauté inspirante à tout artiste. L'Eau du lac George, qui avait il y a des siècle englouti la moitié de cette grande ville, parcourait la ville dans des grands canaux creusés , véritables rues maritimes qui se trouvaient ici et là, comme les vaisseaux sanguins de la cité.
L'Edifice le plus reconnu de cette ancienne ville aux chaudes couleurs à moitié immergée était le Colisée. Autrefois centre de Cromwill, il faisait à présent face au lac. Entouré de récits d'affrontement épiques, cette fierté avait été fondée par Justin le Grand Bâtisseur, tout comme toute la ville, et appartenait dorénavant à la famille Aspida. L'énorme bâtiment circulaire était la couronne de la cité, et tout les quatre ans les Aspida organisaient un tournoi qui d'ailleurs aurait lieu d'ici deux jours : Le grand Quatriel. La noblesse locale n'y manquait pas d'y assister, et le Baron Aspida brûlait de présider cette compétition, comme à chaque cycle.

Cela n'était d'ailleurs pas étranger de mercenaires ici présents (c'est à dire vous!). Un lettre avait été envoyée à la guilde de l'Eclipse, proposant d'enquêter sur ce tournoi… Et d'y participer ! La récompense, si elle était remportée serait partagée (bien que non annoncée encore, elle était habituellement assez alléchante). Les seuls moyens de participer à cette compétition étaient de payer son inscription( à prix relativement élevée) ou bien d'avoir l'honneur d'être commandité par une des familles de l'Ordre des Quatre (les Vantusius, Aspida, Reizhan et Agmen, présents à chaque cycle). De ce fait, l'entrée n'était habituellement pas habituellement pas permise à n'importe qui. Les détails de cette intrigante mission étaient restés secrets, mais quelques clipsiens motivés avaient accepté la quête. Ils étaient arrivés le soir comme convenu à la maison qui était le lieu de rendez vous, un habitat de taille modeste qui appartenait au commanditaire. Le Vicomte Caliburn Vinnairse.
Une femme vêtu en servante leur avait ouvert la porte. Pour une servante elle était d'une assurance  et d'une beauté impérieuse, ses cheveux noirs et longs étaient noués en chignon et elle possédait de superbes yeux azurés qui inspiraient une peur et fascination presque mystique.
Guère bavarde, elle guida les mercenaires jusqu'à la salle à manger, les dévisageant sans désir de cacher sa méfiance. Une fois qu'ils furent tous assis, elle leur servit selon leur volonté vin, thé, ou rien du tout.
-Monsieur le Vicomte est légèrement en retard et je m'en excuse, fit elle en finissant de servir la dernière boisson. Je vous prie de l'attendre, ensuite comme il l'a voulut vous vous entretiendrez en dînant. Si vous avez besoin de quelque chose, je suis à votre disposition.

// Voilà, mon nouveau RP est déjà lancé (même si il sera je pense surtout actif pendant les vacances de Noël).  Expliquons un peu plus le concept : c'est un RP centré sur un tournoi dans lequel il faudra participer et enquêter (vous aurez plus de détails à ce sujet par la suite). C'est donc à la fois un rp de combat et d'enquête/social, de ce fait (car gagner le tournoi serait en vérité un objectif secondaire) il n'est pas nécessaire de venir avec un perso balaise. Il n'y a pas de niveau minimum conseillé en particulier (même si pour rester crédible on va dire F), en revanche les personnages dépassant le niveau B seront interdits. Ce ne serait pas fair play.
-La règle habituelle : si vous ne répondez pas dans la semaine (3 jours en période active/vac), on considère que votre personnage n'est pas réactif à l'action.
-Encore habituel: vous pouvez mourir.
-Pendant les combats du tournoi la magie sera interdite (idem pour le poison).
-Ca sera un RP où il faudra agir pour avancer le truc. Il y aura beaucoup de phases où l'on ne demandera aucune réaction à votre personnage en particulier. Ne pas agir de vous même pour chercher des informations causera votre perte. Notez donc que malgré les combats de la compétition, il faudra se servir de ses méninges et parfois de la parole !


Il y a six places. Pour entrer dans le RP faites un post ou vous présentez simplement votre personnage dans la situation actuelle, éventuellement le voyage jusqu'à Cromwill avec ses camarades, ses impressions sur la mission, et bien sur quelle boisson avez vous prise (capital!). On commence le RP… Boh, quand il y aura  cinq places de remplies. Si un personnage non clipsien veut entrer, on m'en parle sur chat ça peut s'arranger.
Le rp sera plus clair au fur et à mesure, vous verrez ! Enjoie.//

- Bwark. grogna Thelden.
Il commença à se dire que le Vicomte machin-burnes, l'a qu'à s'excuser lui-même, comme un homme merde. M'enfin, on évite de juger les clients, c'est mauvais. Même lorsqu'il s'agit de nobliauds pédants... Remarque, elle est jolie la servante.
- Encore en train de ronger vos freins pour éviter de vous faire bêtement remarquer, maître ?
- Grumbl... Je t'invite à faire de même, Evelia. Tu n'es pas là en tant qu'acteur de l'affaire, juste en apprentie.
- Sa veut dire que je peux quand même demander une petite mousse non ?
- Non. Tu prends ce qu'on t'offre.

Thelden ramassa une coupe de vin, en huma quelque peu l'odeur avant de goûter. Il commenta :
- Sympathique celui-là. C'est pas du vin de table, mais du vin de réception, sûrement des versants au nord de Bloodgorn. Puis-je savoir l'année je vous prie ?

Le dernier membre de la troupe clipsienne était une jeune femme à la peau mate, aux yeux sombres, et aux cheveux noirs attachés en une tresse dans son dos. Elle portait une armure lourde et possédait une magnifique hallebarde d'excellente facture, nommée Karla, qu'elle avait laissé dans l'entrée. Catia Vehersin, écuyère de Lord Penguin, avait fait le chemin en compagnie de la troupe de clipsien pour participer à la mission. Son maître n'avait pas pu l'accompagner car il était occupé par des afaires urgentes à Olyan, auprès de sa famille... Il avait cependant emporté Adaishir avec lui, et Catia se doutait que tout n'allait pas se passer pour le mieux pour Penguin, avec son énergumène de compagnon. Mais contrairement à son homologue écuyer, Catia avait déjà beaucoup d'années d'entrainement derrière elle, et du haut de ses 21 ans, elle n'allait probablement pas tarder à accéder au statut de chevalier à part entière... C'était l'affaire d'un an ou deux. Il fallait donc qu'elle commence à s'émanciper de Lord, malgré l'infini respect qu'elle lui portait.
De plus, participer à ce tournoi était un excellent moyen de se tester par rapport aux grands combattants d'Haynailia. Elle se doutait bien qu'elle ne gagnerait pas, mais combattrait avec acharnement.
Lorsqu'on leur proposa à boire, accepta poliment une tasse de thé qu'elle ne but que par politesse. Ils étaient en la demeure d'une personne importante et il fallait se comporter en conséquence, tant que l'homme en question ne s'avérait pas indigne de ce respect. Elle patienta donc, sirotant la boisson qu'on lui avait offerte.

Après avoir servie les boissons avec une noblesse impassible, elle jeta un regard glacial à Martin Courselun, et pire que tout, resta silencieuse, préférant répondre à l'interrogation de Thelden.
-Vous avez un bon nez. C'est en effet un vin de 1855 provenant de Bloodgorn.
Elle observa plus en détails un à un les invités du Vicomte, se tenant toujours debout près de la table à manger de la salle. Toujours taciturne, elle restait droite  telle un garde qui surveillait nos mercenaires. Quelques minutes passèrent ainsi. Le calme pouvait déranger mais la servante n'en avait cure : elle n'avait nul besoin de discuter avec des mercenaires.
On put alors entendre la porte s'ouvrir. Après quelques bruit de pas le Vicomte entra finalement dans la salle sans se presser. En tant que haut noble et fils de Durand Vinnairse, il était bien sur d'ethnie lumieuse. Ses cheveux blancs comme la neige étaient portés courts et impeccablement peignés sur sa tête, sa barbe elle était finement taillée en tant que moustache accompagnée d'un bouc. Quand à son habit, qui était celui d'un homme qui devait dépenser beaucoup chez son tailleur,  c'était un costume dont la couleur dominante était le rose. Dans la ville sa manie de s'habiller de rose ou de violet était bien connue (un peu moquée), mais il n'en avait cure. L'élégant Vicomte s'approcha de la table, il avait sur ses lèvres un sourire malicieux ainsi que des yeux bleus clairs et francs sur son visage. Il observa la table, ceux qui avaient pris le vin, ceux qui avait pris le thé, et ceux qui n'avaient rien.
-Mes salutations ! Fit-il, jovial. Je ne vous ai pas trop fait attendre ? Tant mieux !
Sans avoir même attendu une réponse à sa question qui n'en attendait pas, il s'assit à sa table.
-Comme vous le savez je suis Caliburn Vinnairse. Oh, d'avance, laissez tomber les « Sieur le Vicomte » ou titres à rallonge. Monsieur Caliburn, c'est déjà bien assez.
-Caliburn, fit la servante se tenant à côté de lui. Le repas devrait être prêt.
-Déjà ? Je suis si en retard ?… Ah ! Qu'importe ma chère Cornelia, depuis quand n'ai-je pas goûté vos plats ?… J'en salive d'avance!
-Occupez vous de vos invités, je vous prie.
Et elle se retira de la salle alors. Le Vicomte ne semblait absolument pas inquiet d'être à la même table que tout ces mercenaires, étrangement.
-J'imagine qu'elle ne s'est pas présentée ?… Il s'agit de Cornelia De la Colline de Glace, de son nom complet. Désolé si elle est un peu froide, cela fait partie de son charme.
Alors, comment allez vous ?
Question étrange à poser à des mercenaires...

Thelden dévisagea le comte d'un air perplexe. En revanche, l'apport de politesses l'irrita, et il ne se gêna pas pour le signaler :
- On est pas venus pour faire des politesses. Venons-en directement au fait ; quelle est notre mission ?

Discrètement, en retrait, Evelia ramassait une coupe de vin et regardait d'un air amusé la scène. Elle toussa en pestant "Mais c'est dégueulasse ce truc en fait ?!" et reposa la coupole.

Catia ne répondit pas et resta muette... Elle ne savait tout simplement pas quoi dire en une telle situation qui, tous en conviendront, était particulièrement étrange. Leur employeur leur demandaient comment ils allaient comme s'ils étaient de vieux amis... Elle en était perturbée.

- J'ai compris pour les objectifs. Pouvez-vous faire rapidement énumérer tous les membres de la famille Aspida, voire même de l'ensemble des gens qui ont quelconque responsabilité dans le système ? J'imagine qu'ils sont plus que trois... Eva ! Prends note de chaque intervenant je te prie.
- Deux secondes... celle-ci sortit un carnet et un crayon, C'est bon, je suis prête.

-Il est en effet possible d'énumérer toute la famille… Fit Caliburn en tirant un bout de sa moustache, avant d'être interrompu par l'arrivée de Cornelia qui amenait les couverts qu'elle disposa aussi rapidement que possible.
-Dis moi… Que mangeons nous au fait ? Dit le vicomte avec appétit en agitant les doigts de sa main droite sur la table.
-J'ai jugé préférable de nous dispenser d'entrée. En plat principal j'ai préparé un porc aux pommes et en désert, un gâteau aux fraises.
-Préparer seule un plat pour tant d'invités, je reconnais bien là ton talent Cornelia !
Elle soupira légèrement et sèchement, avant de repartir sans un autre mot une fois son travail fait.
-Je crois qu'elle est énervée après moi, rit Caliburn. Je vous rassure, elle n'est pas toujours comme ça. Enfin, revenons en à vos question…
Tout d'abord, j'ai déjà évoqué la tête de la famille, Paris Aspida, qui est le maître de cérémonie du Quartiel. C'est un vieux soldat un peu excentrique, je ne l'ai jamais considéré comme dangereux, il est plus plausible qu'il soit manipulé.
Sa femme est Elysa Aspida, une fille de bourgeoisie. Elle a toujours eu une grande influence sur les affaires politiques de son mari et voit avant tout les intérêts de son fils aîné, c'est pour cela que je m'en méfierais… Quand à son fils, Milo, il a la couverture du chevalier modèle, mais je ne le connais pas assez pour affirmer si quelque chose se cache là dessous. Je n'ai jamais pu l'approcher vraiment car il semble avoir une dent contre moi…
Les deux frères de Paris étant morts tôt à la guerre, il ne reste plus que les trois autres enfants à aborder… D'abord, il y a leur fille aînée qui est plus âgée que Milo. Il s'agit de Sophitia Aspida, qui est ensuite devenue Sophitia d'Arzteingard… Mais vous devez mieux la connaître que moi, je sais qu'elle est entrée dans votre guilde quelques années après la chute de Reiilca. Il aurait été amusant qu'elle vienne à cette mission, mais j'imagine qu'elle avait d'autre tâches à remplir.
Ensuite vient Athos Aspida. Il s'est fait une sympathique renommée après avoir été devenu chevalier errant… Mais il fréquente moins sa famille et est devenu un personnage mystérieux. En revanche je sais qu'il participera au Quartiel.
Enfin, il y a la cadette, Cassandra. Elle a été éduquée comme une femme modèle par sa mère, et je sais qu'elle a ensuite épousé Julius Agmen, qui participera d'ailleurs au Quartiel également. Ils ont deux enfants, David et Félix, mais ayant respectivement 3 et 6 ans… Nous pouvons les ignorer. Cassandra n'est sans doute pas une suspecte non plus, c'est une bonne femme Aspida… En passant, si vous n'êtes pas familiers avec le comté Vantusius, sachez qu'ici les gens sont peu ouverts aux droits des femmes, enfin, je veux dire plus qu'ailleurs. Je dis ça pour les deux damoiselles avec nous… Rien ne vous interdit de participer, mais ne soyez pas surprises si l'on a tendance à vous juger. Les choses sont ainsi, c'est une des tares du traditionalisme haynailien. Il y a douze ans, la présence de deux femmes à un Quartiel avait fait un scandale ! Cela s'est apaisé par la suite, mais autant vous prévenir.

Cornelia revint alors, déposant le plat promis sur la table. Un grand porc entier sur un grand plat qu'elle avait porté de ses deux mains avec moins de difficulté que l'on pouvait l'imaginer pour une femme, bien qu'elle fut assez grande.
-Bon appétit, fit elle brièvement avant de s'en aller à nouveau.
-Ah ! S'exclama le vicomte, réjouit, prenant un de ses couverts en main. N'hésitez pas, servez vous. Prenez ça comme un paiement avant l'heure.
Il tourna ensuite la tête vers l'écuyer pour répondre à ses interrogations.

Quand aux participants, vous le verrez de toute façon tous demain en chair et en os. Le lendemain matin vous devrez rendre vos billets au Colisée et assister à la cérémonie d'ouverture. Normalement, tous seront présents et vous pourrez leur parler personnellement. Si il y a une certitude, c'est que chaque famille de l'Ordre des Quatre fera monter un représentant dans l'arène, comme à chaque Quartiel. Milo pour les Aspida, Hast pour les Vantusius, Bernard Reizhan, et enfin Julius Agmen. Ensuite il y a Athos Aspida, comme je l'ai évoqué... Pour ce qui est du reste, il y a Christiano Plazzo, d'une famille d'escrimeurs Waien, qui est aussi assez populaire. Enfin, il y aura comme à chaque année pas mal d'inconnus et de surprise. Le favoris doit être Bernard Reizhan, il avait été finaliste lors du précédent cycle, il est talonné en popularité par Athos Aspida et Julius Agmen. Il y a total 32 participants de toute façon, en vous comptant. Généralement avant le début de la compétition seuls les noms des individus déjà connus du public ressortent.

Thelden et Evelia profitaient l'un comme l'autre allègrement du bon repas, mais pas forcément très proprement. La scène était assez pittoresque, incluant quelques menues débilités, qui sont en quelque sorte un rite quotidien entre maître et écuyer, du style "Passe le sel steup... Evel ? LE SEL CONNASSE !" ou encore "CE SAUCISSON EST A MOI CREVE GROS DEBILE !".

Soudain, le comte demanda aux personnages de se présenter. Thelden réagit le premier :
- Chevalier Terrender. Thelden de mon prénom. Je viens de la campouze, chui un vrai moi. Si vous connaissez un Joeyden Terrender, faites moi-signe. Ce fichu brigand... Je ne l'ai pas revu depuis des années.
- Sauf mon respect, si minime soit-il, maître, on s'en fout ! s'écria joyeusement Evelia.
Thelden lui mit un cassis sur le crâne pour lui signifier que la blague n'était pas de bon goût. Cependant, ça ne l'empêcha pas de poursuivre :
- Ecuyère Evelia. Niveau origines, disons humble, c'est un mot relativement approprié. Mais bon, inutile de se mettre mal à l'aise pour ça hein... Un jour, j'aurai un tas de fric aussi, avec plein de bonne bouffe.

-Je me nomme Catia Vehersin, Sir. Ecuyère en voie de devenir chevalier à part entière. C'est peut être un peu tard, mais... Ravie de vous rencontrer, dit Catia aussi poliment et respectueusement qu'elle le pouvait.
Ce Caliburn Vinairse semblait être une bonne personne, digne du respect qu'elle s'évertuait à lui témoigner.

prenant le temps de caresser un instant ça barbe drue Narvie releva les yeux caché derrières d'épais sourcils qui lui donnais un air encore plus vieux
-Narvie Durvain mais on m'appelle aussi Narvie le bandit. ou du moins je l'était autrefois avant qu'on se face décimé par un "justicier". je suis principalement la pour l'argent, le combat, évité que ce bon a rien se fasse tuer il regarda un instant Martin et aider les autres a trouvé solutions a vos problèmes. ho et ne vous en faites pas je ne compte pas vous en créé plus, je suis un simple mercenaire a présent. dit il en regardant avec attention la porte par laquelle Cornelia était passer. Il y avais quelque chose chez elle qui le déranger particulièrement.

Martin lui s'éclairci la voix pour qu'elle sonne comme il avais appris a le faire en présence de nobles de toutes sortes.
Pour ma part je suis Martin Courselun. je ne suis encore qu'un écuyer, mais je ferais en sorte de rendre toutes mes compétences utiles pour que tout ce passe au mieux. j'ajoute au cas ou mon maître laisse des doute sur mes capacité, que je suis bien plus capable que l'on pourrais le penser.

// Vu que je pars demain assez tot et n'aurait pas internet, pour ne pas vous laisser sur du vide, je décide de poster tout de même. Vu que vous n'avez rien de spécial à faire, je vais faire une ellipse jusqu'à votre arrivée au Colisée. Je préviens néanmoins qu'après cela, vous serez lâchés « dans le bain », en mode open world et il n'y aura plus d'ellipse sauf si demande générale des joueurs ! Ce n'est pas voulu comme un rp rapide, de base. L'introduction est simplement terminée. Pour ceux qui trouvent cette ellipse malvenue ne vous inquiétez pas vous aurez plein de temps par la suite pour développer les choses ou faire du social. Normalement je pourrais poster plus aisément d'ici une semaine, mais rassurez vous avec ce post mastoc vous devriez avoir de quoi répondre si vous avez deux neurones. //



Les présentations faites et le repas achevé, le groupe partit se coucher (pour ceux qui parvenaient à trouver le sommeil en tout cas). Le matin, la servante n'était pas là et le Vicomte prenait un thé, assit avec nonchalance dans son fauteuil en invitant les mercenaires à se presser. Le groupe prit la direction indiquée hier par le haut noble, traversant l'allée du marché ou les commerçants commençaient à installer leurs produits par dizaines. Au bout de trois quart d'heure de marche ils finirent nez à nez avec l'entrée du Colisée qu'ils devaient emprunter. L'édifice était encore plus impressionnant vu de près, et semblait malgré l'âge inébranlable. Dès demain, ses gradins seraient bondés de monde assoiffé de voir des combattants se déchaîner dans l'arène. Devant l'entrée, comme l'avait décrit Caliburn Vinnairse, se trouvaient deux statues symétriques. Deux colosses de pierre nus sculptés dans le style réaliste impérial avec le plus grand soin que l'on pouvait, portant fièrement une épée qu'ils brandissaient vers le ciel. Le groupe passa entre ces statues à la musculature ciselée pour enfin entrée dans le hall qui accueillait tout les participants.

La salle était bondée, emplie de combattants. Tout les participants du Quartiel étaient réunis dans l'immense lieu, soit 32 personnes prêtes à jouter tout les jours qui suivraint jusqu'à leur défaite. Ce lieu, voué à accueillir les combattants, avait été construit de manière à rendre honneur à tout les précédents Quartiels. Au milieu de cette salle se trouvait un grand pilier où l'on gravait les noms de chaque vainqueur… 238 noms occupaient le pilier et bientôt, l'on y graverait un 239. Ceci mis à part, la salle possédait nombreuses tables et chaises, et les murs eux étaient tapissés d'armes de corps en corps en tout genre. Le lieu était dans un style réellement ancien, et l'on ne voyait pas les dorures et couleurs impériales typiques des lieux de cérémonies, mais plutôt l'auguste pierre beige d'Alefridia.  Il était semblable à un temple.
Mais intéressons nous aux fameux participants, car la liste est longue et si la salle n'était pas si grande, l'on aurait dû les entasser.


 Entrait tout juste derrière notre groupe le chevalier Erwan Knighton, un récemment anobli vassal de la famille Vantusius. On voyait bien son origine paysanne à son teint que lui avait donné le travail et le soleil, malgré tout il avait la figure digne et fière qui convenait à son titre de chevalier. Rasé, il portait les cheveux longs qui retombaient sur sa nuque et était venu tout armuré, comme beaucoup d'autres. En dépassant les clipsien il les salua d'un mouvement du menton, ce qu'il fit à chacun en progressant dans la salle.

Une femme assise avec d'autres combattants en manque de chaise qu'elle ne connaissait pas, le regardait avec insistance. Ayant donné pour seul nom Carolina, elle était un peu grande et un peu ronde et un peu jolie, mais beaucoup rien du tout. Elle n'était juste qu'un peu douée d'ailleurs. En tout cas elle restait taciturne. Elle semblait même mal à l'aise. Il est en passant important de noter que Cromwill, dans sa culture traditionaliste aux penchants misogynes, jetait un regard accusateur sur les femmes guerrières. Le fait que Quartiel de cette année accueille plus de cinq femmes était en effet plutôt exceptionnel, et ne plaisait pas à tout le monde notamment dans cette salle.
D'où son malaise.

A la même table se trouvait un homme nommé Franz Dinkelmann, un haynailien à moitié nordan qui comptait faire usage de ses talents avec sa technique de la double hache. Borgne et vieillissant, il était roux aux yeux bruns et avait été bel homme il y avait vingt ans de cela. En parlant à son voisin de table, il caressait sa longue barbe. L'Homme clamait être venu pour le plaisir de la compétition et raillait tout ceux qui désiraient à tout prix la victoire finale.

Il discutait avec un excentrique nommé Loic Loric, un homme brun qui avait une adoration presque effrayante pour les félins. Quand on lui demandait quel était son style d'escrime il répondait « celle de l'école du chat noyant ». Même son casque formait la tête d'un félin. Il avait comme point commun avec Franz qu'il semblait être venu uniquement pour l'amusement.

Lâchant quelques phrases de temps en temps, le dernier résident de cette table était Orvid. Un grand Nurenuilien aux cheveux tressés et au nez aquilin, l'oeil rieur. Il était en vérité recherché à Nurenuil pour maints crimes même si ici, peu s'en souciaient et encore moins le savaient ! Sans doute pour cela, il ne semblait pas inquiet pour le moins du monde. A la place il sirotait sans soucis une bouteille d'alcool, même si il ne se faisait pas beaucoup remarquer.

Il fallait noter que certains combattants préféraient rester isolés quitte à rester debout. C'était par exemple le cas d'une jeune femme lumieuse qui désirait sans doute éviter tout jugement. La dame aux cheveux blancs courts était Kartsa Friedsang et venait ainsi de la fameuse famille de chasseurs de vampire et n'avait pas pipé mot depuis son entrée non plus… Elle fixait plutôt les autres participants avec un regard dur comme pour les jauger. Elle portait le long manteau blanc typique des Friedsang, restant près du mur bras croisés…
Il y avait d'autres solitaires, mais nous y reviendrons plus tard.
Elle regardait tout particulièrement les participants d'une table. En effet à l'une d'entre elles étaient réunis trois Scarrath, chose qui attirait sa suspicion.

Le premier, Mounir, était un Scarrath typique vêtu du foulard traditionnel de son pays. Il était le plus impassible des trois, tout équipé d'une armure semblant faites d'écailles d'on ne savait quel animal. De son foulard perçait un regard d'aigle froid et incisif. Pourtant nul ne savait pourquoi il couvrait son visage et n'ôtait le bas de ce foulard uniquement pour boire et manger. On pensait au froid, ou bien juste à un goût purement esthétique.

Il y avait aussi une petite femme, venant de Scarrath mais fille d'haynailiens, qui avait donné le nom de Badiya Anane. La blonde au teint hâlé parlait à Mounir, semblant plutôt agacée… C'était une femme courte dans la trentaine et plutôt maigrichonne ayant une partie du visage tatouée, qui portait une tenue très similaire à celle de son interlocuteur. Peu importe ce qu'elle semblait dire à Mounir, ce dernier y restait sourd et ne réagissait même pas.

A côté d'elle se trouvait un jeune homme à la peau sombre qui partageait au cou le même tatouage que Badiya. C'était Saqr Anane, un scarrath qui bien que grand était de nature timide et préférait se faire discret. Il portait les cheveux courts et portait encore une tenue semblable bien que plus légère et moins semblable à une armure. Bien qu'il y ait un autre siège de libre, peu désiraient s'incruster auprès des scarrath, d'ailleurs un homme ne tarda pas à emprunter ce dernier sans même demander l'avis des trois pris dans leur conversation.

Cet homme était Dario Estéfiel, un Waien fringuant et richement habillé qui portait élégamment ses longs cheveux bruns à la mode Impérial. Bien que peu connu ici, il était bien réputé pour ses talents à l'épée mais surtout sa grande collection de joyau, car il parcourait le monde entier pour la remplir encore plus. Plutôt cynique et provocateur, la noblesse environnante ne l'appréciait guère, et car il était un bon Waien cela était réciproque.

Il rejoint ainsi la table des frères Plazzo, d'autres Waien d'une famille d'escrimeurs reconnus. Le grand frère, Christiano Plazzo était craint pour sa technique au sabre et l'un des favoris de la compétition. C'était un homme dans la trentaine qui portait ses cheveux longs attachés derrière sa nuque alors qu'une élégante moustache décorait son visage. Il avait un regard enflammé qui démontrait une redoutable détermination, et était lui aussi déjà venu tout équipé, sabre à la ceinture. Décidé à l'emporter cette fois sur cette adversaire, il avait démontré son adresse lors du précédent tournoi il y avait 4 ans.

Son jeune frère de dix ans de moins était, si lui était plutôt fin, de physique plus épais pour la même taille. Large d'épaules et grassouillet, il portait les cheveux courts et des rouflaquettes. Si sa coiffure et sa barbe étaient taillés avec autant de soi que celles de son aîné, leurs regards étaient drastiquement. Si le regard de Christiano était celui d'un fauve, celui de son frère Joseph était celui d'un poisson mort. Inutile de dire que sa motivation n'était pas optimum.

Un des désirs les plus ardents de Christiano était, en passant, de vaincre Julius Agmen qui représentait comme l'année dernière sa famille au tournoi précédent. En effet, si Julius n'avait pas remporté le précédent Quartiel, il avait vaincu Christiano…  Julius lui, était un bel homme aux longs cheveux qui avait grand succès auprès des dames, quand aux lames, sont talent n'était pas à prouver. En vérité les passions de Julius étaient le chant et la musique, et son effort à l'entraînement tout comme sa participation au Quartiel étaient dans l'unique but de redorer le blason des Agmen, famille déchue qui logeait dans un château en reconstruction. Ce dernier actuellement était dans le bout opposé de la salle aux côtés de celui qui représentait la famille Aspida, Milo.

Milo Aspida avait hérité du physique puissant de son père ainsi que de ses cheveux blonds qu'il portait courts, accompagnés d'un fier bouc qui habillait son menton. Habillé de manière clinquante aux couleurs et symboles de sa famille, il portait dans son dos son fidèle espadon qui était à l'avenir destiné à être remplacée par la grande épée familiale que lui léguerais son père Paris. Bien déterminé à prouver sa valeur au tournoi de son père, il espérait lui livrer de beaux combats. Milo était comme son père simple et bon, mais avait aussi hérité de la méfiance de sa mère…

Un peu plus loin justement, se trouvait son petit frère, Athos Aspida. Enfin, il s'était inscrit sous le nom du Chevalier Azuré, mais tout ceux qui le connaissaient l'appelaient Athos et ca ne le dérangeait pas. Ce dernier ressemblait assez à son frère, sans barbe, et portait une armure particulièrement belle aux motifs élégants et au métal bleuté semblant presque cristallin. Athos Aspida était devenu un héros assez reconnu dans la région. C'était peut-être la raison de ce qui l'empêchait de passer paisiblement un instantt isolé en ce moment…

D'habitude absolument impassible, le fameux Chevalier Azuré tentait ici tant bien que mal de le rester. Une jeune femme se collait à lui en lui tenait le bras droit, les yeux brillants d'admiration. C'était une femme de petite taille aux cheveux légèrement ondulés mi long entre le châtain et le blond, aux yeux bruns et aux lèvres charnues. Elle portait une armure argentée rutilante dans un style qui aurait rappelé l'arzteingardien. De ce fait on pouvait dire qu'elle s'accordait bien avec Athos, sauf que ce dernier ne la connaissait pas du tout et était dans l'incompréhension quasi totale. Cette femme se nommait Lily Aglagore, inconnue au bataillon, sûrement d'origine modeste.

C'était l'avant dernière femme dans l'assemblée. La dernière semblait faire le tour de la salle, un peu stressée. C'était une petite femme dans une armure semblant trop grande pour elle qui produisait de grands bruits métalliques à chacun de ses pas. Une brune dans la trentaine au visage rond qui portait un haut chignon, elle semblait ruminer quelque chose en parlant. Son nom était Amélie Monbec. Les gens du coin étaient surpris de la voir au tournoi, car si on savait qu'elle savait un peu se battre, ce n'était qu'une tavernière.

Il y avait deux autres personnes isolées alors profitons pour en finir avec ces deux là qui n'étaient pas des moindres… Le premier était un bérilien répondant au nom de Jiang Shi, qui était assit en tailleur dans un coin de la salle où les gens l'évitaient. Et on pouvait les comprendre. L'homme aux cheveux sombre était coiffé d'un chignon à la bérilienne et portait une vieille armure de son pays, mais ce n'était pas son origine qui effrayait bien sur. L'homme avait les yeux clos et un léger sourire malsain, de plus il parlait tout seul, ou plutôt, à l'épée décorée qu'il tenait dans sa main… Cela suffit à éveiller la méfiance du cromwillois superstitieux, ou de n'importe qui de raisonnable. De plus il n'avait parlé à personne depuis son entrée.

Le second était un autre bérilien, mais qui avait des traits clairement occidentaux. Sa longue chevelure était même d'un blond éclatant . C'était un homme grand, qui portait un masque évoquant un visage de lion qu'il n'avait pas encore mit, pendant à une cordelette sur sa poitrine. L'objet était d'usage cérémoniel et seulement pour le combat. S'étant présenté sous le nom de Sun le Lion, l'homme aurait une grande réputation dans son pays mais était un inconnu total ici, pourtant, il clamait haut et fort que sa technique surpasserait toutes les autres. Il semblait pourtant assez vieux, plus de quarante ans en tout cas.
Tout semblait affirmer que les deux bériliens ne se connaissaient pas.

Passons enfin à la dernière table.
Il y avait tout d'abord Quirielo, un homme lourdement armuré qui n'avait pas précisé son lieu d'origine, cependant il était facile de voir qu'il avait des traits suderons. Il était terriblement silencieux, et cela était logique car en vérité il dormait sur sa chaise. Personne à la table n'avait jugé utile de le réveiller pour l'instant, mais apparemment il était présent ici avant tout le monde.

En face de lui se trouvait Juda Cheverell, un homme chauve et fort laid au sourire affreusement tiré  de manière à lui donner une expression de mécontentement perpétuelle. Ce dernier était un commandant de l'armé impériale, cela se voyait à son uniforme qu'il portait même dans cette situation. Il semblait griffonner quelque chose sur un carnet, l'air concentré.

Il y avait ensuite Paul Ananké, un prêtre de l'ordre haynailique qui se trouvait également combattant reconnu. L'homme aux cheveux sombre avait le crane rasé et portait une barbe courte. Si il comptait bien venir équipé demain, il n'avait aujourd'hui que sa tunique de religieux. L'Homme paraissait imposant, mais était pourtant doté d'un regard doux et d'une étonnante beauté qui était presque majesté. Cependant, il parlait peu, se faisant surtout oreille du dernier occupant de cette table.

Osia Onan, un homme affreusement bavard qui ne s'arrêtait d'émettre un mot que pour boire. Il parlait de tout et n'importe quoi à un tel point que l'on pouvait se demander si lui même savait ce qu'il racontait, pourtant le prête n'en semblait pas gêné une seul seconde. Osia était un bourgeois haynailien, et s'était payé les meilleurs habits qu'il avait trouvé pour cette cérémonie d'ouverture. Il n'était cependant pas aussi remarquable que ne l'était le Vicomte en terme d'extravagance. Oh, il semblait un peu ivre aussi (il avait apporté son propre alcool pour boire sans aucune restriction, le rusé).

Et pour finir, près du pilier se trouvaient deux hommes biens connus de par leur statut. Le premier, faisant face à l'objet de pierre, était Bernard Reizhan. Un homme de très grande taille qui portait une armure noire comme avaient l'habitude de le faire les chevaliers de sa famille. Ayant pour volonté d'intimider, l'armure était munie de pics et de motifs squelettiques. Le géant à l'intérieur avait un regard qui semblait presque rougeoyant de volonté, et une épaisse moustache grise surplombait une large bouche qu'on aurait cru capable d'avaler un bras entier. Le favori du tournoi, celui que tout le monde craignait, c'était lui. Il avait pour réputation de ne faire aucun cadeau à ses adversaires, ce qui signifiaient entre autre beaucoup d'os brisés et de saignements.

A côté de lui se trouvait un participant bien plus modeste, pourtant représentant ici la famille Vantusius. Hast Vantusius était un homme de taille moyenne aux cheveux blancs en catogan, l'air légèrement déprimé, portant un casque sous le bras en discutant avec le Reizhan. Les gens de la haute n'aimaient en général que peu Hast, ou peut-être était-ce l'inverse. Il avait aussi été forcé de participer à ce Quartiel, méprisé également par sa famille. Ce fut vers ces deux hommes que se dirigea le chevalier Erwan Knighton, les saluant et se mettant à discuter avec eux.

Il semblait cependant que le dernier participant manquait à l'appel. Sans doute viendrait il d'ici peu. Le tirage commencerait bientôt, et un petit guichet se trouvait au fond de la salle, tenu par un vieil homme à lunettes au nez crochu. C'était là qu'il faudrait déposer les billets signés.

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VOI-LA.

Dorénavant vous pouvez parler à qui vous voulez (c'est le moyen le plus efficace d'en savoir plus sur les pnj, je ne répondrais à aucune question HRP!)//