Jolly Roger (3 places disponibles =D )

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Voilà, je préfères notifier ça dans un post supplémentaire. En raison de mon absence inopinée qui débutera ce Lundi là, soit le Lundi 14 Août et qui se prolongera jusqu'au Vendredi 18 Août, le Rp sera suspendu. J'entends par là qu'il n'avancera pas, comme je serais dans l'incapacité de poster.
Cependant, ceux n'ayant pas encore posté, comme DALOKA ou Stefiran, ainsi que ceux qui ont à répondre à un de mes messages, n'hésitez pas à le faire, je vous le conseille même fortement. Du coup, à mon retour, je pourrais répondre à tout ça, et cela permettra de faire un pas en avant dans la progression de l'histoire.
Pour finir, je vous remercie de participer, et j'espère que cette phase terrestre n'est pas trop ennuyante.
A très bientôt,
Arty'
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Après avoir entendu le capitaine parler au disciple de Sacrieur ayant précédemment proposé la "bouftoutisation" du Crâ désormais au sol, je me rendais compte que j'avais eu un incroyable coup de chance. Je décidai de conclure l'attente qu'il m'avait demandé pour aller lui parler de ce contrat que le Sacrieur dont je parlais précédemment venait de signer.

Alors que je l'approchais, une chope de bière encore pleine (si c'est pas une honte) vint interrompre mon avancée en arrivant sur ma goule. J'eus hésité un court instant si je devais répondre, mais je m'étais dit qu'en effet, je devais répondre. Je jetai la chope dans mes mains d'un coup de pied, puis je la lançai en direction du rebut de taverne qui se massait dans un coin. Je manquai mon tir de peu, mais je n'eus pas tenté de le renouveler, j'avais des affaires plus importantes.

Veuillez m'excuser, monsieur, après lecture de votre contrat, je viens de me rendre compte que vous étiez le renseignement que je cherchais.

// Arty', le 14 août est un dimanche et 18 août un jeudi //

Pytagor entra dans la taverne, se cognant contre le haut de la porte à cause de sa grande taille, il se frotta le crane, ces portes étaient toujours trop petites à son gout.
Le grand iop cherchait quelque chose pour se divertir, un voyage, une tête à couper... Ect...
Il chercha donc des yeux le lieu ou étaient mises les annonces, se faisant aborder par quelques femmes le qualifiant de "beau grand roux" qu'il repoussa poliment, ensuite il prit tout simplement la première annonce qu'il vit.
Pirate? Peu importe, après tout ca ne devait pas être ennuyeux!
Il chercha donc -encore chercher- le dit capitaine du "Revenge", une fois que, grâce aux indications, il ait trouvé cet homme, il s'assied à la table ou se trouvaient déjà d'autre personnes.

-Bonjour vous là! Je suis intéressé par votre annonce. fit il en posant la feuille sur la table Mon nom c'est Pytagor, guerrier iop!
Et il est ou votre "Revenge"? Je l'ai pas vu en passant! Vous l'avez planqués?



//post moyen, mais fait vite//

// Donc, voilà, étant en vac', j'ai juste pus réserver rapidement, mais, maintenant 8D

Nom : C'est SI important ?

Prénom : Tirriri.

Classe : Crâ.

Âge : Pour lui, il en a 31, mais, techniquement, il en 36.

Sexe : Homme.

Apparence : De taille moyenne, Tirriri gagne néanmoins quelques centimètres avec ses longs cheveux, attachés en une grande queue de cheval. Il porte un chapeau qui lui cache le haut du visage une fois baissé, ce chapeau, ressemblant a une Dora qu'on aurait étiré vers le haut est décoré de quelque flèches d'argent, débutant de la pointe du chapeau et redescandant jusqu'au bord. Sous ce-dit chapeau, on peut voir ses cheveux blancs et longs attachés, comme dit plus haut, en une grande queue de cheval. Si on descend un peu son regard, on pourra voir le bout de sa barbiche, lui arrivant presque juste qu'au oreilles, cette barbe donc, blanche, elle aussi, forme un bouc (Je CROIS que c'est ça.). Ses deux yeux, d'un noir profond créez un puissant contraste avec ses cheveux et sa barbe. Il porte un plastron en cuir dans lequel on a placé une plaque de fer, pour renforcer cette bien pauvre armure. Sous ce plastron, il porte l'habit simple, gris, lui collant au bras et dont les manches ne s'arrêtent que aux poignets. Sur ses épaules, deux épaulettes en argent, sur lesquelles ont a fixés deux cornes d'une quelconque bête avant de faire couler dessus un mince filet d'argent. Accroché dans son dos, un grand arc en ébène, sur lequel s'enroulent deux flèches d'argent. Son pantalon est retenu par une ceinture en cuir sur laquelle semble courirent deux flèches d'argent, faisant le tour du Crâ. A celle-ci, est accroché une paire de dagues, à la lame courbé, ainsi qu'une épée, légère et double tranchant, rangé dans son fourreau noir. Revenons a son pantalon, gris et lui collant aux jambes, lui aussi. Il porte une paire de botte de cuir auquelles ont a ajouté des renforts d'argents qui font le tour des pieds du Crâ, pour les rendrent plus aggressives, c'est dans le même but qu'on a placé deux cornes de l'animal dont on tire ce cuir sur le haut des bottes.

Caractère : On pourrait définir le caractère de Tirriri en quelques mots, sang froid, tacticien, seulement, cela ne donnerait qu'une toute petite partie de son caractère qui -comme pour tout le monde- est bien plus complexe. On pourra aussi dire qu'il n'écoute pas toujours les ordres et agit sans le consentement de ses supérieurs. Deplus, bien qu'il n'ait pas une grande carrure, il ne se laissera pas marcher sur les pieds si facilement. On pourrait croire que c'est un de ces hommes qui se plaind tout le temps et qui serait le premier a rejoindre une mutinerie, seulement, les apparences sont trompeuse, car, bien qu'il n'appréçie pas toujours ses capitaines, il a, la plupart du temps une grande confiance en eux. Tirriri a aussi la fâcheuse habitude de vouloir "controler" et de profiter d'une faiblesse passagère chez quelqu'un pour abuser de lui, seulement, même si il réussi son coup, il finira par regretté son acte et a réparer sa faute. Certes, avoir une femme à ses côtés de le dérange point, mais, il ne payerait pas pour en avoir une, tout simplement car il croit en l'amour vrai et franc. Un Crâ romantique, oui. Pour l'alcool, il ne crache pas sur une bouteille, mais il sait arrêter de boire avant d'être saoul.

Pouvoirs et techniques : Simple crâ, éxpérimenté et sachant quand même utiliser l'épée, il n'utilisera que ses sorts et ses armes, ses sorts ne sont que des flèches invoqués par son arc, et dont leurs puissance, leurs porté et leurs précision dépend simplement de ses besoin. Il peut donc repousser un adversaire avec une flèches, viser et toucher une cible se trouvant de l'autre côté du bateau, ou plus loin encore, deplus, comme tout Crâ, Tirriri utilise des balises, la seule qu'il utilise pour le moment ressemble a une petite sphère, sur laquelle on a désinné des cibles, cette sphère est suspendu dans les airs grâce a une petite hélice qui n'arrête pas de tourner, lorsque Tirriri envoie une flèche dans l'une des cibles de cette balise, cette dernière produit un grand souffle tout autour d'elle, repoussant les opposants qui se trouvaient à côté. Ses sorts, il en apprendra de nouveaux de temps en temps, mais, il lui aura fallut pour cela, un long entrainement. Son dernier atout, et le moins puissant, ses armes, une épée et deux dagues, parfaites pour égorger une gorge. Ses armes, donc, il ne les utilisera que en dernier recours, lorsqu'il sera acculé, mais, jamais, au grand jamais, il ne chargera l'ennemi pour avoir l'occasion de les utiliser.

Histoire : Tirriri naquit dans une famille aisé, qui habitait Amakna, son père gagnait assez d'argent, par des moyens inconnus par Tirriri a l'époque. Il vécut tranquillement, sans problèmes, jusqu'à ce qu'il quitte la maison a ses dix huit ans. Deux ans plus tard, ses parents mouraient, assasinés par des brigands avec qui son père avait du traiter et qui n'était pas content de ses services. Tirriri continua néanmoins a mener une vie assez tranquille, mais ne gagnant pas assez d'argent, il devait pomper a chaque fois un peu des économies de son père. Vers ses 24 ans, sur la paille, il commença a soulager les gens de leurs bourses trop lourdes. Deux ans plus tard, il s'engageait sur un navire de pirates : La Reine Furie. Il y resta jusqu'au jour ou leur navire rencontra un navire corsaire qu'il voulurent aborder, malheureusement, le navire corsaire, possédant plus d'hommes remporta la bataille, malgré qu'une grande partie des pirates réussi a s'enfuir, en fait, Tirriri fut le seul prisonnier. Le chemin du retour pour revenir en Amakna, là où il devait être emprisonné était long et les corsaires finirent par l'abandonner sur une île déserte avec seulement son arc et un pistolet à un coup. C'est une vieille coutume de pirate et ces corsaires, ex-forbans des mers, avait finit par préféré cette solution. Tirriri resta 5 ans sur cette île, vivant des quelques Moogrs vivant sur l'île, d'eau claire et de fruits exotiques, certes, ses débuts furent durs mais finalement, un bateau passa près de là et aperçu les signaux de fumées du Crâ, quelques temps plutard, Tirriri était de retour a Amakna, il avait 32 ans. Après cette mauvaise expérience, il voulut changer de métier, mais ce fut sans succès, aujourd'hui, il écume Torunta, à la recherche d'un bon coup.

Voila, voila. //

C'était fait, Thorin avait un nouvel ennemi... il n'aimait pas le genre de ce type, trop peu respectueux avec les ainés.
Il lui relança un regard noir avant de changer d'expression, il devint ensuite serein et répondit.

Vu ce qu'il existe dans la race humaine, je comprends pourquoi je me tourne vers les pichons jeune homme. Lança t-il en le dévisageant.
De plus, je te demanderais de respecter tes ainés, ou d'avoir un vocabulaire plus adapté. Tu es loin d'être le plus costaud d'entre nous...

Le sacrieur ne lachait pas Furaille des yeux, ce type l'énervait a chaque fois qu'il ouvrait sa bouche.

Et si cela ne vous convient pas jeune homme, nous règlerons ça par la force...
Le disciple de sacrieur était habituellement capable de dissuader le tout venant, lui c'était autre chose!

L'escrimeur Thorin répondait encore et encore, c'était sa spécialité de briser ses adversaires a petit feu. Les remarques de l'autre ne lui faisaient strictement rien, il avait l'habitude de ce genre de discussions... Il avait une éloquence et une répartie qu'il possédait depuis sa plus jeune enfance. //Comme je l'ai dit dans ma présentation, un peu de lecture ça fait pas de mal. ^^ //

Et a part ce sujet, y'en a t-il un autre qui te viendrais a l'esprit? Je vois que tu as l'air bien calé dessus! Un pervers doublé d'un jeune frustré! Et vierge avec ça!

Le pirate gardait son air serein, pas de sourire niarquois, juste un peu de provocation... Après tout, c'était la technique de combat de cet homme, humilier puis tuer.
Si jamais il t'arrives quoique ce soit a bord, je ne leverais pas le petit doigt... bien que ce soit la seule chose que tu dois savoir lever. Ajouta t-il habilement.

Maintenant si cela ne vous dérange pas je prefererais continuer la discussion a bord...

L'homme se préparait a sortir, et en profiter pour voir le cra qui pataugeait avec les bouftous.

// Pour infos :


Le Sloop est un petit navire, moins grand qu’une frégate. Il permet d’embarquer de dix à dix-huit canons, pouvant apparemment transporté jusqu’à 75 hommes (en se serrant bien, hein Oo).
D’après ce dessin, on constate que le sloop est construit sur plusieurs étages. Malgré la mauvaise visibilité, on déduit sans peines que les réserves de boulets, de poudre, de vivres se situent en fond de calle, le dortoir juste en-dessous du pont.
Dans le modèle de navire présent dans le Rp, les dortoirs sont plutôt confortables, dans l’optique où le navire est constitué de 7 cabines, 8 avec celle du capitaine. Les membres de l’équipage peuvent donc dormir séparément. La cabine du capitaine est, elle, située sur le pont, à la poupe. Son plafond est recouvert de planches, si bien qu’elle fait partie du pont du bâteau, chevauchée par la barre à roue.

A côté de cela, je tiens à préciser que la mort de quelconque individu est pour l'instant impossible. J'appliquerais cette règle un peu plus tard, histoire que le Rp débute correctement.

Voilà, j’oublie sûrement pleins de choses, mais je clarifierais les détails manquants de post en post.

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Une petite brise marine fraîche me caressait les sens, et me séchait, par la même occasion. Le contraste entre la chaleur de la taverne et la fraîcheur du dehors était impressionnant. Le port de Torunta regorgeait de navires en tout genre, amarrés pour la nuit. Ils se balançaient doucement au gré des vagues, grinçant de la proue à la poupe sous l’effet du roulis. J’avais pris rapidement de l’avance, histoire de rejoindre le fameux Sloop que j’avais remarqué. Il se nommait fièrement « L’Inquisiteur », était en parfait état, et suite à un très rapide coup d’œil dans les calles, disposaient d’une petite réserve de poudre et de boulets, ainsi que quelques caisses de balles pour pistolet. Il y’avait également quelques vivres, et, oh, miracle, deux tonneaux entiers de Rhum. Avec cela, nous pourrions voguer pendant près d’une semaine, sans prendre en considération quelconque butin.
C’est en remontant des profondeurs du navire qu’un faible grincement attirai mon attention. Enfin, pas vraiment un grincement, il y’en avait déjà énormément, non, mais plus comme une chaise que l’on repousse. Je sondai l’obscurité autour de moi, puis constatant que ce n’était sûrement qu’un artifice de mon cerveau fatigué, je redescendis sur le ponton à l’aide de l’échelle de corde déroulée à cette intention. J’heurtai bruyamment le bois de la construction de bois, admirai ma nouvelle prise, avec son fier mât se dressant à travers le ciel, puis reportai mon regard sur mes hommes, se jetant des regards mauvais par moment, curieux par d’autres s’approchant de l’emplacement du bateau. J’espérais de tout cœur que ce rapide recrutement s’avérerai payant, et que le propriétaire du bâtiment réquisitionné par mes soins n’allait pas faire irruption, cela compromettrait vilainement à mon sérieux.

Quelques éclats de voix me sortir de la contemplation de la surface de l’eau. Apparemment, des différents quelconques opposaient monsieur Furaille ainsi que monsieur Bloodmoon. J’approchai de ces deux-là, les mains jointes derrière le dos, et m’adressai à l’Eniripsa :

- Y’a-t-il quelconques problèmes, Monsieur Furaille ? Se serait dommage de vous laissez ici, avouons-le.

Je m’écartai, et vint me poster près de l’échelle de corde. La totalité de mon équipage était désormais face à moi, me dévisageant curieusement. Je pris finalement la parole, après quelques secondes de contemplation.

- Messieurs, vous voici devant "L’inquisiteur ". Montez donc à bord, installez-vous dans vos quartiers. Allez allez, ne perdons pas une minute. Dès lors que vous aurez touchez le pont, vous serez sous mes ordres, et êtes tenus de respecter la chasse-partie que vous avez signé ainsi que le Code des Pirates, Morbleu. Je suppose que vous savez manœuvrer un bateau ? Prenez vos postes, arrangez vous. Si l’un de vous souhaite également occuper le poste de chirurgien, qu’ile me le fasse savoir, bien que j’ai déjà une petite idée.
Nous allons partir vers l’Est, afin de rallier les côtes d’Amakna, discrètement, si possible, afin de nous ravitailler. Messieurs, tous à bord !

Le sacrieur montait a bord, encore en train de rire de la dernière phrase de Furaille. Non mais quelle imagination! Il alla ensuite un peu voir ce qu'il se passait sur le pont.

En tout cas, il avait bien rigolé aujourd'hui, et en plus de ça, il avait envoyé un cra a l'enclos aux bouftous. Certes ce n'était pas super sympa mais qu'est ce que ça détendait.
La première chose qu'il fit, c'est de monter sur le nid-de-pie, tout en haut du mat. La vue était superbe! La lune était presque pleine, les étoiles devenaient de plus en plus nombreuses et la baie brillait.
Bon par contre il y'avait une chose qui clochait, c'était les types qui arrivaient en direction du bateau.

Cap'tain! Je crois qu'il y'a un problème a propos du rafiot! Je vois que des camarades a vous ont l'air de vouloir le navire! On fait quoi?

Il ne se doutait pas vraiment que le bateau soit volé, il s'imaginait que le capitaine avait un compte a régler...